MESSAGES ▲ : 38 DATE D'INSCRIPTION ▲ : 28/12/2014 AVATAR ▲ : nakigitsune ▬ touken ranbu DIT ▲ : renard & oxygène ANECDOTE ▲ : il a adopté un bébé renard FICHE RS ▲ : •• white howling
Sujet: green like tea ft. bis Dim 15 Mar - 22:38
Dear the lost past doesn’t exist now.
Pinceaux. Papiers à encre. Encore. Et tout le reste.
Tu poses le matériel avec une précaution maternelle dans une malle en bois que tu fermes délicatement. Puis, tu te diriges à la cuisine attrapant alors une boîtes où se trouvait une douzaine d'onigiri préparés par tes soins et une bouteille de thé vert. Tu places le tout dans un sac et te presse alors de sortir.
Enthousiaste, tu rejoins alors la première station de dématérialisation vers Eraclae. La ville est nettement moins peuplée que Libra mais ça ne te dérange pas au contraire, tu te sens moins tendu qu'à l'habitude. Je veux dire, moins il y a de gens, mieux c'est pour toi. La tête tournant légèrement - foutue station - tu commences à marcher en direction de la maison du Gouverneur. Gouverneur que tu connais surtout sous le nom de Bis. Tu souris vaguement en pensant à lui, il fait partie des rares personnes que tu apprécies sincèrement.
Mais la raison pour laquelle tu te rends chez lui n'est pas une simple visite d'ami, non tu devais le remercier. Pourquoi donc Oxyde ? Soupir, léger mais soupir quand même. C'est à cause de ton tribut ça. Ouais. Tribut qui t'as valu les foudres d'une vieille dame qui t'avais employer pour faire le ménage chez elle. Tout ça parce que, toi, essoufflé - au bout de dix minutes - t'étais écroulé devant le jardin parce qu'elle t'avait ordonné de courir pour nourrir son chien nommé Gimauve. Manque de change la veille peau te trouvant dans cet état ne pu s'empêcher de hurler dessus et de t'insulter. Ah. T'étais sur le point de pleurer mais Bis ton sauveur qui passait dans le coins au moment même prit aussitôt ta défense. La dame se tut rapidement.
T'avais l'air pathétique à côté se lui. Nouveau soupir. Tu tenais à le remercier, personne que ce soit pour toi, Oxyde ou pour Jon vous sont venus en aide dans de telle situation. Tu donnerais tout pour ne pas perdre ces personnes.
Les rues de la ville sont tranquilles mais tu restes toujours mal à l'aise, tu sens des regards se poser sur toi. Ils te jugent, ils te jugent. Tu secoues la tête, chassant ces pensées de ta tête, accélérant un peu le pas. Le sac te parait un peu lourd mais tu repartiras les mains vides donc cela ne te gêne pas, tu espérais sincèrement qu'il allait plaire à Bis. Enfin même si ce n'est pas le cas, tu auras au moins essayer de bien le remercier et tu t'empresseras de trouver quelque chose de mieux. Mais imagine il le prend mal .... Hein ? Pardon ? Noooon, Bis n'est pas ce genre de personne. Et puis, pourquoi il le prendrait mal sérieusement ? ................ Ah. Tu sens la pression serrer ton coeur. Calme Oxyde, calme. Tout va bien se passer tout va - Avant même que tu ne t'en rendes compte tu étais devant la porte de la maison de Bis. Ok, ok. Tout tremblant tu décides d'inspirer et d'expirer mais tes poumons trop faibles te font tousser violemment. Tu passe une main sur ta bouche, remontant au passage ton masque. Tu frappes.
MESSAGES ▲ : 91 DATE D'INSCRIPTION ▲ : 16/02/2015 AVATAR ▲ : mikazuki munechika x touken ranbu DIT ▲ : Gouverneur, Bisoune ANECDOTE ▲ : Passioné d'astronomie et se lave très peu.
Sujet: Re: green like tea ft. bis Lun 16 Mar - 21:51
めちゃくちゃ
C’est le même bruit qui résonne entre les murs de chez moi depuis trois quarts d’heures déjà, depuis mon réveil c’est pour dire. Le même bruit, mais pas la même source. Si un coup c’est mon coude, alors celui d’après c’est ma cheville, puis mon cou, et le bas de mon dos. Mon corps craque sous les angles, à chaque mouvement. C’est le même corps qui n’en avait fait qu’à sa tête et qui avait décidé de casser le rythme de mon sommeil. Si mon cerveau est de mon côté et que mon calcul est bon, alors j’avais dormit pour près de quinze heures.
C’est un de ces jours horrible que j’avais l’habitude de vivre à mon arrivée sur Libra, quand mes muscles sont faibles et me peinent jusqu’à me laisser par terre et ramper. Mes os ont suivis le rythme, ils sont aussi fragiles que des crackers, sensibles à mes moindres mouvements. C’est dans ce genre de moment que je lâche toute fierté et reconnaissance envers ce monde et me met à insulter Thémis dans ma tête. Tous les jours, c’est un peu la guerre avec moi-même pour me débrouiller avec ce tribut. Aujourd’hui était donc un mauvais jour.
Il est faux de dire que je me suis levé aujourd’hui. Je me suis réveillé, certes, et puis j’ai rampé entre les murs de ma maison d’une banalité les plus japonaise. Peut-être que j’avais été un poil emmerdeur à mon arrivé sur Libra à demander une maison de mon ethnie ; aux portes coulissantes, au sol recouvert de tatamis, au balcon de bois donnant sur un jardin et un petit lac de poissons… J’avais parsemé le tout d’une décoration simple ; des bonsaïs un peu partout – sur presque toute surface plane – et quelques calligraphies sur les murs. J’aurais presque envie de dire que la marée de paperasses dispersées un peu partout sur les tatamis fait partie de la décoration, mais c’est faux et c’est la seule chose qui me déprime un peu.
J’essaye de me lever plusieurs fois, mais sans succès. Mes genoux tremblotent et me lâchent de suite. Je me ris un peu à la gueule, me demandant de quoi j’ai l’air d’un point de vu extérieur, étalé comme une limace sur le sol, mon kimono froissé à cause de mon contact avec le sol. Il me faut une bonne poignée de minutes pour me rendre compte que le nouveau bruit que j’entends n’est pas mon cœur qui m’annoncerait ma fin prochaine, mais bien le fait de quelqu’un à l’extérieur. Un faux pleur m’échappe alors que je fixe la porte d’entrée à quelques mètres de moi.
C’est Oxyde ! « O-Oxyde ! Je suis là, attends un instant s’il te plait, j’arrive ! » J’annonce, poussant sur ma voix toute aussi épuisée. Je me redresse et atteint la porte d’entrée sur mes genoux, mes cuisses souffrantes de cet effort. Je fais coulisser la porte pour tomber face aux hanches d’Oxyde, alors je relève la tête. « Bonjour Oxyde. Entre, je t’en prie. » Je lui adresse mon habituel sourire. J’essaye de paraître normal alors que mon corps faiblit de nouveau et que je m’assois sur mes talons. « Toutes mes excuses pour la tenue, c’est pas la forme aujourd’hui… »
Je n’avais jamais laissé quelqu’un entrer chez moi – Thresh ne compte pas, il est naturel pour un animal de compagnie de visiter son maître de temps en temps – et lorsque ça arrive, il faille que je sois dans le plus piteux des pyjamas, dans le plus piteux des états.
Oxyde
coeur souillé de noirceur
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Sujet: Re: green like tea ft. bis Lun 16 Mar - 23:56
Dear the lost past doesn’t exist now.
Le stress monte doucement. Tu avais peur de le décevoir, tu avais peur qu'il te rejette. Tu secoues la tête attendant patiemment qu'il t'ouvre ... Imagine il n'est pas là. Non, non, non, Oxyde pas question de se mettre de fausses idées dans la tête. O-Oxyde ! Je suis là, attends un instant s’il te plait, j’arrive ! Un instant tu te réjouis, instant court car tu remarques dans sa voix une certaine fatigue - avec certes, un petit temps de retard propre à toi-même. Inquiet tu fronces les sourcils. Mais tu comprends rapidement. Son tribut aussi - non pire - que le tiens. Tu te mords la lèvre en espérant qu'il n'est rien.
La porte Japonaise - que tu l'aimes - s'ouvre. La première chose que tu vois, un pyjama ; la seconde, le visage souriant de Bis. Même dans cette tenue là il reste élégant. A ton tour tu souris mais sans dissimuler ton inquiétude tu es bien placé pour savoir qu'il est dur de vivre avec un tribut qui vous prive de capacité physique. Genre respirer. Mais lui il n'a pas de force c'est encore pire. Cela dit il te salue et t'invite à rentrer dans sa demeure comme si tout allait bien. Rien que pour ça tu l'admires sincèrement. Sans broncher tu rentres dans la maison, t'excusant pour l'intrusion comme tout bon Japonais. Mais tu n'es pas Japonais. Enfin bref ce n'est pas le sujet. A peine entrer tu le vois fléchir, s'asseyant sur ses talons paniqué tu poses ton sac sur le sol. Toutes mes excuses pour la tenue, c’est pas la forme aujourd’hui… Tu secoues la tête cherchant à lui faire comprendre qu'il n'avait pas à s'excuser. C'était idiot, la seule qui devait s'excuser c'était Thémis et ses idées connes.
C'est déjà très admirable de ta part d'avoir accepter ma première ma présence dans cet état. Attend, je vais t'aider. Doucement alors tu l'agrippes en dessous des bras, le relevant lentement en faisant attention à te pas lui faire mal.
Je t'emmène dans le salon. Tu n'attends pas sa réponse et te dirige à un rythme sûr vers ladite pièce, le trajet est court mais prend tout de même quelques minutes. Si tu te serais dépêcher tu aurais pû lui faire mal et même toi, supporter son poid était déjà un gros effort de ta part et si tu devais en plus de cela marcher à un rythme rapide, bye bye. Thresh vous aurait alors trouver tous les deux gisant sur le sol et agonisant. Une fois arriver au salon, tu installe le brun à même le sol - il s'agissait d'un salon japonais de toute façon - puis tu t'assois à ton tour non très loin de lui, reprenant ton souffle et lui accordant un sourire.
Attend un instant, je reviens ! Tu le laisses même pas le temps de parler et t'éclipses pour aller chercher ton sac, une dizaine de seconde plus tard te revoilà dans la pièce. Tu rougis un peu parce que t'es fragile (...) Mais tend tout de même le sac.
C'est pour toi. J'espère que ça te plaira. Pardon je pouvais pas attendre, il fallait que je te le donne.
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Sujet: Re: green like tea ft. bis Mer 18 Mar - 20:25
めちゃくちゃ
Je n’aurais accepté la visite de personne si ce n’était pas Oxyde. Pas question que le Gouverneur se laisse voir aussi faible, on me critique déjà à tout va à cause de cette association étrange entre mon tribut et ma profession. Si c’est Oxyde, alors je suis sûr qu’il ne ferait pas tourné le mot comme quoi le gouverneur est en fait une grosse limace qui se frotte au sol une fois chez lui. Ca me rassure toujours d’avoir ce gosse à mes côtés, au moins je suis sûr que tout restera calme, à la portée de mon peu de force.
Je lève mon corps si frêle grâce à l’aide d’Oxyde, je me sens un peu mal de devoir me servir de lui comme une béquille mais je le remercie de toute façon. Je reprends doucement mon souffle une fois assit au sol. De la surprise se dessine sur mon visage alors qu’Oxyde revient de suite, déposant un sac face à moi. Un cadeau ?! Un cadeau ! Tel un enfant à son anniversaire, un large sourire s’esquisse sur mon visage alors que j’attrape le sac de deux mains fermes. « Il y a bien longtemps que l’on ne m’avait pas fait de présent. Je suis ravi, merci Oxyde ! » J’étale ma main sur le sommet du crâne il lui ébouriffe rapidement sa chevelure argentée.
On m’offrait des fleurs la plupart du temps, ou alors on me disait de ne pas payer mes achats… des simples actes de reconnaissance de la part des habitants d’Eraclae. Quand il en vient à mon cercle social, ce genre de cadeaux se fait plus rare… peut-être parce que ce dit cercle social n’est pas si vaste que ça. Mes amis proches se comptent sur les doigts de mes deux mains, si ce n’est une seule. Soit, je déballe le cadeau d’Oxyde avec délicatesse pour éviter d’abîmer le contenu.
Le contenu est plutôt riche ; une bouteille, une boîte et une malle en bois. J’ai un doute par où commencé, mais j’ouvre la malle en premier. Je relève rapidement la tête vers le jeune homme, tenant l’un des pinceaux du bout des doigts. Je pourrais me lancer sur une analyse profonde et détaillée du dit pinceau, mais évitons. « Oh, Oxyde, tu ne me connais que trop bien ! Jusque-là je n’avais pas encore changé de pinceaux malgré ma pratique régulière, tu me dépannes énormement. Oh, pendant que j’y pense, je pourrais peut-être t’apprendre la calligraphie japonaise si ça te dit ? » Je lui ébouriffe de nouveau le haut du crâne.
Je pousse la malle sur le côté pour poser mon attention sur le restant du cadeau. Une merveilleuse odeur familière m’avait envahi les sens depuis qu’Oxyde est entré à la maison. J’essaye tout de même de cacher mon excitation alors que j’ouvre la deuxième boîte. « Tu cuisines ? De la cuisine japonaise qui plus est ? Je devrais peut-être t’engager, c’est pas mon domaine préféré… » Ok, je n’exploiterais surement pas un enfant comme lui, mais pour dire, je me nourris principalement de riz au riz à la sauce au riz, avec du riz pour dessert. Paresse ou incapacité à faire un plat digne de ce nom ? Va savoir.
Je ne fais pas attendre les onigiris d’Oxyde et croque une bonne mâchoire dans l’un deux. Le plaisir se dessine sur mon visage sous forme de sourire hébété et de ricanements. Je prends mon temps, je déguste, et j’apprécie cette sensation dans mon corps qui reprend des formes. Oui, j’avais super faim. Bref. « C’est délicieux Oxyde! On fait un deal. Je te paye un cours de calligraphie contre un plat par semaine, t’en dis quoi ? Tu n’en parles à personne hein ! Surtout pas à Thresh, il va croire que je suis en train de recréer l’esclavagisme. » Je n’ai jamais trop envie de parler à Thresh d’Oxyde de toute manière, au risque de me faire bouffer les doigts… Stupide animal.
Oxyde
coeur souillé de noirceur
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Sujet: Re: green like tea ft. bis Jeu 19 Mar - 16:46
Dear the lost past doesn’t exist now.
La surprise puis un sourire. Tu sens ton cœur fait un bon, Bis semble déjà être heureux du cadeau, enfin du geste. Il te prend le sac de ses deux mains, tu le laisses faire, profitant de ne plus être en possession du paquet pour t'installer sur le sol. Il y a bien longtemps que l’on ne m’avait pas fait de présent. Je suis ravi, merci Oxyde ! Une main - la sienne - vint alors se recueillir sur le haut de ton crâne ébouriffant tes cheveux, tu profites du geste comme un enfant que l'on récompense. Au fond c'est un peu ce que tu es.
Trépidant d'impatience, tu laisses Bis ouvrir le paquet à son rythme, redoutant tout de même sa réaction. Et si ça le lui plaisait pas ? Et si son sourire disparaissait pour faire place à une mine déçue qu'il tenterait de réprimer ? Et si ... Et s'il ne voudrait plus de toi à cause de ça ? Non. Non. Non. Tu pars trop loin là, Oxyde. Pourquoi d'ailleurs ? Pourquoi ? Pourquoi Pourquoi ? Parce que tu ne veux pas le perdre, ni lui ni Thresh d'ailleurs. Perdu dans tes pensées, tu finis par secouer la tête, t'as raison c'est pas le moment de déprimer. Tu regardes Bis observer l'un des pinceaux que tu avais choisis. Oh, Oxyde, tu ne me connais que trop bien ! Jusque-là je n’avais pas encore changé de pinceaux malgré ma pratique régulière, tu me dépannes énormément. Oh, pendant que j’y pense, je pourrais peut-être t’apprendre la calligraphie japonaise si ça te dit ?
Tu ouvres la bouche un moment, tu sais pas, t'es sans doute encore plus heureux que lui que ça lui plaise. Il t'ébouriffes les cheveux - encore - avant que tu ne puisses répondre quoique ce soit, de nouveau tu te tais et t'apprécies. Alors tu finis par hocher la tête, silencieux car t'arrives pas vraiment à articuler quelque chose qui ait du sens.
Tu cuisines ? De la cuisine japonaise qui plus est ? Je devrais peut-être t’engager, c’est pas mon domaine préféré… Contre ton gré, tu te mets à rougir mais heureusement ton masque le cache, il faut dire que quelqu'un comme toi n'es pas vraiment habitué aux compliments. Tu peux les compter sur les doigts de la mains, presque. T'en sais rien en fait. Enfin bon, faut-il encore qu'il déguste. De ce côté là tu es confiant, tu sais que ta cuisine n'est pas mauvaise, t'as toujours eu un goût plus développé que les autres et tu te débrouille quand il s'agit de mélanger les saveurs. Étrange car tu n'aimes pas spécialement manger.
Bis finis par croquer dans l'onigiri. Tu le vois sourire, il doit sûrement aimer. Pas sûrement putain, Oxyde ait confiance en toi, ça se voit qu'il AIME ce qu'il MANGE non mais.
C’est délicieux Oxyde! On fait un deal. Je te paye un cours de calligraphie contre un plat par semaine, t’en dis quoi ? Tu n’en parles à personne hein ! Surtout pas à Thresh, il va croire que je suis en train de recréer l’esclavagisme. Penchant la tête légèrement sur le côté, pensif. Puis tu baisses la tête, tes mains fébriles à cause de la joie jouant entre elles. Tu ne sais pas quoi penser de tout ça, en fait tout est confus dans ta tête. Déjà tu ne t'attendais pas à ce que ce cadeau lui plaise à ce point, alors qu'il te propose des cours de calligraphie en échange d'un repas par semaine. Tu n'osais même pas en rêver.
Euh ... Je hum ... Merci beaucoup. Je suis content que ... ça te plaise. Tu bafouilles, t'es embarrassé mais dans le bon sens du terme. Tu sais pas trop quoi dire.
Ah et euh ! Bien sûr, ça me fait plaisir de faire quoique ce soit pour toi. Et puis j'adore la calligraphie ... Je peux pas te refuser ça. Haha ... Un sourire franc se dessine sur tes lèvres alors que tu passes une main une main derrière la nuque, tout de même un peu gêné. C'est dans ta nature on va dire.
En fait, je vous te remercier. Hm, peut-être tu ne te souviens pas mais tu m'as carrément sauvé la vie assez récemment. Euh, tu te rappelles de la vieille dame et de son chien ? ... Bah c'est pour ça. Tu baisses un peu la tête, encore plus gêné de devoir lui faire remémorer des souvenirs qui ne sont pas très flatteurs pour ton image. Fragile.
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Sujet: Re: green like tea ft. bis Sam 21 Mar - 21:53
めちゃくちゃ
Oxyde est un jeune homme doux et calme. Aussi doux qu’une plume et aussi calme que la chute de cette dernière. Il en est presque fragile. A chaque fois que je lui parle, j’ai le besoin de le faire délicatement, comme si je parlais à un enfant. Il n’en est pas réellement un, mais n’ayant pas l’habitude de me lier d’amitié avec des personnes aussi jeunes – je côtoie les enfants d’Eraclae, mais jamais pour plus de quelques minutes – je ne sais pas trop comment interagir avec lui, alors je le fais de manière délicate. Il reste toujours un peu mystérieux à mes yeux.
Mon sourire s’étire un peu plus sur mes lèvres alors qu’Oxyde accepte mon offre. Oh, je trouverais bien un moment entre deux pétitions d’Eraclae pour lui donne un cours. J’embouche le restant de l’onigiri et frétille de plaisir au talent culinaire du plus jeune.
« Oh, si si je me souviens très bien ! J’ai également eu des problèmes avec cette dame à cause de mon tribut… alors je me devais bien de jouer le super-héros pour une fois. » Tout le monde n’est pas toujours en parfaite harmonie avec le tribut d’autrui et c’est encore plus difficile lorsqu’on n’en connait pas les limites. « Si jamais tu as d’autres problèmes de la sorte qui surviennent, n’hésite pas à m’en parler, les gens ont facilement peur du gouverneur. » J’essaye de croiser son regard en baissant la tête à son niveau.
Posant mon index sur son menton, je lui remonte le visage pour l’avoir face à moi. « Ne sois pas aussi gêné. » Alors, je lève ma deuxième main et passe les deux derrières ses oreilles pour lui retirer délicatement le masque. « Et puis, pas besoin de ça ici, il n’y a que nous. » J’essaye de lui sourire un peu plus, un sourire rassurant, mais je souris déjà trop et mes mâchoires commencent à me peiner un peu. Je pose le masque à côté de la boîte à onigiris. J’ai envie de tous les dévorer d’une seule bouchée, mais je tiens à garder une certaine image face à Oxyde.
« Thémis a vraiment été horrible avec nous, hm ? » Mon sourire s’efface petit à petit de mon visage. Il me faut trente secondes pour me préparer mentalement à mon effort physique, et une minute entière pour me lever alors que la douleur me perce les jambes. Je m’excuse alors que je vais – lentement – chercher des tasses à la cuisine. Je reviens et me rassois doucement face à Oxyde, les jambes croisées. Je pose les tasses sur la table (ouais fuck this shit disons que y’a toujours eu une table et qu’ils se sont déplacés ok) et les remplis alors de la bouteille du présent d’Oxyde. Si le riz est mon oxygène, alors le thé vert et le sang dans mes veines. Oh, c’est d’un ridicule.
« Tu ne t’es jamais demandé pourquoi tu avais reçu ce tribut et pas quelque chose d’autre comme… un bras ou… ton cerveau peut-être ? » Parce que moi, oui. Mon cerveau, peut-être pas, mais Thémis que j’aurais aimé que cette manitou me dénude d’un truc stupide comme mes cils ou je ne sais pas quoi, plutôt qu’une des choses qui me fait vivre un minimum correctement.
Oxyde
coeur souillé de noirceur
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Sujet: Re: green like tea ft. bis Sam 4 Avr - 13:05
Dear the lost past doesn’t exist now.
Il se souvient de cette dame, comment l'oublier de toute façon ? Au fond ça te rassure, les souvenirs ont toujours eu une certaine importance pour toi, oublier est synonyme d'un manque d'intéressement ou d'attachement. Comment expliquer ... Tu ne sais pas trop, ne te complique pas la vie Oxyde. C'est inutile et tu ne fais que souffrir. Enfin bon, qu'il se soit souvenu ou pas ça ne change pas au fait que les gens ont du mal à toléré certains tribut, surtout ceux comme le tiens et celui de Bis. Douce torture quotidienne qui résonne dans ta tête comme une réplique de l'Enfer. Une punition, hein. Si jamais tu as d’autres problèmes de la sorte qui surviennent, n’hésite pas à m’en parler, les gens ont facilement peur du gouverneur. Silencieusement, tu hoches la tête souriant malgré toi, heureux de l'aide qu'il te propose.
Tu sens alors quelque chose te relever le menton ... L'index de Bis ? Ne sois pas aussi gêné. Gêné ? Tu étais gêné tu ne comprends pas mais juste que les paroles en elle-même te gêne ... C'est compliqué. Tout est compliqué avec toi de tout façon, ne sachant aucunement comment réagir tu te contentes de le fixer, interloqué, confus presque. Les secondes défilent alors que sa seconde main vient se poser sur ton masque. Et il s'en va, la sensation l'air frais qui se pose sur ton visage te parait presque désagréable. Et puis, pas besoin de ça ici, il n’y a que nous.
Un, deux, trois. Tu ne comprends pas. Quatre, cinq ... Et tes joues s'enflammes.
Calme, Oxyde, calme-toi. Non, non, non, il peut te voir, il peut te voir. Pire que la gêne la peur t'envahit silencieusement, est-ce que tu le dégoûtes ? Sans doute, oui, tu ne sais pas, tu ne sais pas. Tu veux savoir. Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Tu ne sais pas. Et alors que la panique te tue à petit feu tu finis par remarquer son sourire. Presque automatiquement, tu te détends. Thémis a vraiment été horrible avec nous, hm ? Oui. Sans doute. C'est une punition, non ? Tu te demandes d'ailleurs pourquoi quelqu'un comme Bis se retrouve avec un tel tribut ? Il ne le mérite pas, du moins pas dans cette vie là.
Tic, tac, le temps qui défilent. Et Bis qui se lève, tu essaies de l'empêcher tu lèves les mains vainement à l'air, presque incapable de parler, ton visage est à l'air, la peur te reprend et tu finis par le laisser faire. Il revient, des tasses dans les mains qu'il pose sur la table [s]QUI A TOUJOURS ETE LA MDR[/s], il remplit les deux verre de thé. T'avais presque oublié les cadeaux pour tout te dire. Tu ne t’es jamais demandé pourquoi tu avais reçu ce tribut et pas quelque chose d’autre comme… un bras ou… ton cerveau peut-être ? Tu secoues presque trop brusquement la tête.
Non, pas vraiment ... Mais ... Je ne sais pas, ça m'a toujours paru normal ? Oui, tu le mérites après tout, tu ne sais pas vraiment ce que tu as fais de mal. Tu le mérites c'est tout.
... Et toi ? T'as du mal à parler, parce que tu n'as plus ton masque, ton regard se pose sur ce dernier avant de retourner vers Bis, toujours un peu gêné.
HRP : Pardon omg cette réponse est grave nulle mais idk sérieusement.