adria]♦ melancholy hill

adria

If we're looking out on the day of another dream

Informations Générales

APPELLATION - Adria

ANCIENNE IDENTITE - Justine Neil

SURNOM - AD, c'est plus simple comme ça.

ÂGE PHYSIQUE - Dans la vingtaine elle ne se souvient pas exactement la date de son anniversaire.

NATIONALITE - Australie

METIER - Dessinatrice/Illustratrice, elle dessine les affiches, vous savez celles que vous croisez dans le Quartier Albâtre, aux vitres des échoppes. Celle sur lesquels vous vous arrêtez à peine.

LIEU DE RESIDENCE - Libra

GROUPE - Sauvé

Description Physique

« you have to look pretty in order to survive in this harsh world »

Adria, une chevelure blanche qui s'ondule jusqu'au creux de ton dos, un visage enfantin et quelques grains de beauté qui s'aventurent maladroitement sur tes joues. Ta peau blanche et laiteuse est sans imperfections. On te disait que tu étais belle, tes yeux savait embellir ton visage d'un doux regard charmeur. Tu n'as jamais eu de mal à séduire. Ton corps fin mais assez petit ne te confères pas une très grande envergure. Tu te faufiles, tu sais ne pas être vue si tu le désires. Tu te fou un peu de ton apparence désormais, non ça ne compte plus. Tes robes auparavant d'un blanc éclatant sont devenues usées, le tissus est distendus, les liens en sont brisés. Peu importe, tu enfiles tes haillons continuellement, vestige d'un passé. Essayant d'étreindre ton ancien corps, tes démarches enjouées et tes manières gracieuses. Il n'y a plus de ça en toi, parfois tu essayes mais ton corps s'en est lassé. Tu n'es plus charme et volupté Adria, tu es une femme qui agis telle une enfant.

ANECDOTE

« we need to discover what is hiding behind that soul »

Tu es tellement intriguée Adria, ces créatures ici et là qui font surface. On raconte des choses effrayantes à leur sujet. Des monstres, des indignations, à l'image de l'affaiblissement de ce monde. Toi tu n'as pas peur, du moins pas tant que tu n'en auras pas vu. Non, tu veux les rencontrer Adria. Ils ont l'air si intéressant, si différent et pourtant les même. Et puis, ils ne connaissent rien d'autre que cette vie, que la vie d'injustice. La vie de créature infâme et fuit. Comment ferais-tu Adria si tu n'avais que cette vie ? Si tu ne connaissais rien d'autre que cette existence, que chaque soir tu étais dépourvue de souvenir à étreindre. Que deviendrais-tu sans tes trésors petite fille ?

Tu adores voyager, le plus loin possible, le plus abandonné imaginable. Ces coins reculés, tu as l'impression qu'ils recueillent les failles. Car tu veux comprendre, pourquoi ce monde est là, pourquoi toi, jusqu'à quand. Tu veux ta vie à nouveau. Tu ne veux pas être là. Alors dans ces coins isolés, tu cherche la trace, la trace d'un quelconque signe de réponse. Tu ne trouves rien et ne trouveras jamais rien, tu n'es même pas assez forte pour t'en rendre compte. Tu ne serais rien sans l'espoir Adria.

Le dessin, il te semble avoir toujours aimé ça, tu le crois. Tu aimes ça, la sensation du papier se noircissant sous tes coups de crayon impulsifs et désordonnés. Ton imagination prend vie, chaque fois tes hallucinations, tes mensonges deviennent réalité grâce à une simple mine de crayon. Tu trouves ça fantastique. Alors c'est devenu une nécessité, cette manie de tout dessiner, de toujours avoir ton carnet. Tu oublies de faire attention à ce qui se passe autour de toi, tu te mets littéralement à dessiner partout, oubliant l'endroit où tu es.

x Elle est claustrophobe.
x Elle a commencé à boire et à fumer depuis son arrivée à Libra, et seulement là.
x Les transporteurs la rendent malade.
x Elle observe souvent les gens.
x Elle aurait aimé être poétesse, mais n'a jamais vraiment su écrire.

description morale

« humanity is a curious thing, we're so similar but so different at the same time »

Oh my sweet, sweet, little doll, you're complaining without knowing... don't you see how blind you are ?
Tu es là, passagère dans un monde dont tu ne comprends le sens. Tu es une ombre Adria, une ombre d'une fragilité déconcertante, tu es brisée, morcelée. Tes souvenirs te hantent, ils sont pour ta mémoire un trésor, tu les chéris, les protèges, les revis sans cesse. Lorsque tu es arrivée ici, Thémis t'as laissé passer, avec ton corps et ton âme, dans cet Eden, seul quelques bribes de ton passé ont franchi les grilles. Ta mémoire s'est décimée. Tu n'as plus que des fragments de souvenirs dorénavant.
Tu dessines, obsessionnellement, tous ces moments, tu les rêves chaque nuit. Certains deviennent d'une nature tout autre que leurs versions originelles. Tu les transforment petit à petit. Tes rêves ne sont plus que des rêves. Tu ne discernes plus rien. Tu t'accroches à des contres façons.

Tu ne détestes pas ce monde pourtant, le monde autour ne t'indiffères pas. Tu es seulement obnubilée par ce que tu as embellis. Tu es mélancolique, attachée sans cesse à ce qui n'est plus. Il n'y a pas vraiment de raison à vrai dire, toi même tu ne saurais le dire. Tu fais souvent des choses impulsives Adria, des choses que tu ne comprends pas toi même. Tu es d'une curiosité sans faille.
Tu n'as pas peur de ce monde, car tu as une théorie, la seule que tu veuilles bien accepter. Ce monde n'est qu'illusion, tout ça n'est que l'invention d'un Dieu qui s'amuse avec tout ces pions. Quand bien même cette théorie ne serait qu'une fable que tu te serais racontée à toi même, tu n'as pas d'attache dans ce monde, rien pour te retenir, pour te permettre de craindre quoique ce soit. Tu n'as rien à perdre.

Tu es plutôt amicale, quand tu t'intéresses réellement quelqu'un il obtient une place importante dans ton cœur. Tu es quelqu'un de loyal, de naïf certes mais toujours attentive. Les gens ne sont pas des menaces pour toi, ils subissent le même châtiment que toi, alors tu as de la compassion pour eux. Tu n'es pas une menace Adria, juste une fillette perdue dans un monde empli de silhouettes brisées.

histoire d'une vie

pure state of ignorance 〕

1.
Autour de toi, tous s’affairaient, riaient, et s’amusaient ensemble. Toi, tu ne savais pas, tu ne comprenais pas comment tu pourrais faire pour t’intégrer, tu aimerais que ce soit aussi simple qu’un éclat de rire. Mais rien n’est aussi simple qu’un éclat de rire petite fille. Tu laissas vagabonder ton esprit dans l’immensité des illusions. Tout était si beau dans ton imagination, le monde n’est qu’un doux halot d’une bonté sans égale. Tu n’étais plus affligée par sa dureté mais tu étais fascinée par sa douceur. Tu voyais au loin, les parcs et les arbres, devenir montagnes et cimes enneigées. Tu souriais. Tu aimais tellement la neige Adria, cette sensation de flottement lorsque tes pas enfonçaient cette épaisse couche de glace immaculée, les flocons se dissipant dans ta chevelure pâle. Tout était à toi dans ces moments. Et tu étais là, à nouveau, assise dans cette chaise trop grande pour toi, regardant par la fenêtre de ta classe, confondant à nouveau l’univers que tu désirais voir et la réalité qui t’accablais. Tu n’avais que 8 ans et pourtant tu savais déjà que tu n’arriverais jamais à te confondre dans ces rires qui t’entouraient.

« Adria, tu ne veux pas jouer avec les autres ? »

Tu te retournais, peu soucieuse d’affronter le regard désapprobateur de ton enseignant. Puis tu hochais la tête en signe de protestation, signifiant clairement que ça ne te concernais pas.

« Si tu ne veux pas faire quelque chose avec les autres, on doit bien pouvoir trouver quelque chose à toi Adria. Qu’est-ce que tu aimes ? »

Tu réfléchissais sérieusement à cette question. Tu savais que ce que tu aimais par-dessus tout était ton monde, dans ce que toi tu voyais de cette vie, ce qu’il y avait de signifiant à tes yeux, mais tu te trouvais dans l’incapacité de l’expliquer. Tu n’arrivais même pas à le réaliser.

« J’aime imaginer d’autres choses à la place de ce que je n’aimes pas ou qui m’ennuie. »

Tu observais l’homme face à toi, espérant qu’il ait compris tes pensées. Du haut de tes 8 ans tu ne comprenais pas que ce que tu disais te définissais déjà.

« Dans ce cas-là, pourquoi ne pas dessiner ton propre monde ? »

Tu réentendais ces paroles, les redéfinissais plusieurs fois dans ton esprit. Tu ne savais pas dessiner correctement, tu n’avais jamais essayé de dessiner plus que de simples petits dessins sur les côtés de tes feuilles, et il voulait que tu dessines tout un monde ?

« Essayes ! »

Il te sourit avant de repartir surveiller les autres élèves. Qu’est-ce que ça te coûtait de tenter. Tu ouvris ta maigre trousse de crayon et commença à griffonner sur une feuille vierge. Tout ton univers prenait forme, chaque trait était plus intense que le précédent. Chaque forme s’emboitait un peu plus avec la suivante. Le monde qui se révélait sous tes iris d’enfant, n’était plus derrière cette grande fenêtre, il s’était déplacé sur ton dessin. Tu en contrôlais chaque détail.

adria]♦ melancholy hill EYbEjNd

2.
L’horizon dépassait tout ce que tu avais pu voir un jour, seul de fines taches blanches venaient briser l’azur indivisible du ciel qui s’étendait sous tes yeux. Le reste du paysage n'était que désert parsemé ça et là de végétation. Il n'y avait plus aucun bruit aux alentours, autres que ceux d'une nature sauvage qui avait repris ses droits depuis que tu avais franchi la frontière de la ville. Ayers Rock, l'un des plus beaux sites de l'Australie. Tu avais gravis, pas après pas, ce mont de roche rouge qui ne semblait finir. Tu avais fait ce choix après une longue réflexion, ce n'était qu'après t'être retrouvée au pied de cette immense bloc que tu en avais fait une décision définitive.
Tout était comme tu l'avais imaginé, le dépeuplement, la liberté, tout cet espace rien que pour toi. Tu respirais, les paupières closent. C'était parfait.

Tu n'es pas pareille Adria, tu n'y arrives pas. Redresse ton dos, tiens toi droite, baisse les épaules. Tu n'es pas assez malléable, tu ne parviens pas à faire comme les autres, à te taire quant il le faut, à parler quant on te le demandes. Les mots ne viennent pas, ou sont trop violent. Tu n'as plus de tact, tu n'en comprends pas la définition, alors tu as simplement arrêté d'essayer. Ils ne le tolèrent plus, tu vois les regards de désapprobation, les murmurent d'incompréhension autour de toi. Tu as connu des complices, d'autres passagers qui comme toi, n'y arrivaient pas. Mais ils n'étaient rien de plus que des connaissances, des gens qui petit à petit se sont repris ou se sont éloignés. Tu n'as pas tenté de les garder près de toi à vrai dire, tu t'en foutais. Il y a bien eu quelqu'un que tu as voulu protéger, que tu as voulu garder, tu as aimé, une fois. Mais tu n'aimais pas la personne, Adria, tu aimais l'idée que tu avais d'elle, tu projetais tes envies, ton monde sur ce qu'il était. Puis tu t'en ai désillusionnée. Tu as déçu dans ta propre déception. Tu t'es lassée de ces relations surfaites.
Non, tout ça, ce n'était pas pour toi.

Au fond, que te restais t-il ? Tes parents t'aimaient, mais dans leurs soucis du paraître ils ne voulaient admettre, comprendre. Alors ils qualifiaient tout ton être de "passade", imaginant qu'un jour tu te réveillerais en étant une autre. Tu avais fini de lutter pour t'expliquer, tu n'attendais plus rien de leur imagination. Tu avais garder ton âme de fillette Adria, tel Peter Pan, tu avais fini par te détourner de la maturité, tu désirais l'innocence. Te morfondant dans l'ignorance dans une parfaite naïveté. Le monde tel qu'il l'était ne te séduisait plus. Du haut de tes 19 ans tu pensais tout avoir su, connu ou tenté. Tu en étais convaincu, à un tel point que ton monde n'était plus un rempart mais un Eden. Tu ne rêvais plus, tu vivais tes illusions.

Alors l'insatisfaction et la lassitude t'avais emportée. Tu ne cherchais plus à te complaire dans un bonheur passager, tu ne voyais aucune perspective de joie dans ton avenir. D'où provenait la vie ? Que nous apportait nous vraiment autre qu'une vie ancrée dans la société, dans les codes ? Que pouvions nous attendre de l'avenir lorsque notre choix était porté sur la marginalité, sur la différence. Suivre une autre voie pour atteindre le bonheur, était-ce possible ?
Tu t'épuisais de ne trouver aucune réponse. Tu étais exténuée de ne comprendre pourquoi chaque matin tu devais te lever, recommencer, encore et encore, pour toujours te rendormir de la même manière, au même endroit, sur les même ressentiments que la veille et que les jours à venir.
Ton propre monde était la seule chose qui te contentait, car tu y voyais la vie telle que tu désirais la voir. Une vie de beauté, de pure émerveillement, de chaque instant. Une vie où chaque respiration serait un pas, où chaque rencontre serait un devenir. Tu quittais peu à peu la réalité du monde pour en faire ta réalité.

Ce choix était devenu une évidence, tu n'avais ni regret, ni remord. Non, tu étais consciente de chacun de tes gestes et tu les avais mûrement réfléchis. C'était ton dernier choix.
Tu rouvrais les yeux sur la vaste étendue de beauté qui s'étendait sous l'infini du ciel. Tes pieds à la limite de la falaise. Le soleil finissait sa course pour laisser place à la lune. Explosant dans un doux crépuscule à la palette multiple. Il t'éblouissait, éclairant ton visage de nuances orangées. La fine brise emmêlait tes cheveux dans une lente caresse. Tu te laissais tomber, avide de légèreté. La vitesse forçant tes larmes à rouler sur tes joues. Ton visage était détendu dans un sourire timide.
Tu heurtas le sol.

adria]♦ melancholy hill EYbEjNd

3.
Tu étais plongée dans le brouillard le plus total. La balance ? Thémis ? Libra ? Tu ne trouvais aucune explication plausible au monde auquel tu te confrontais. Tu n'avais jamais été croyante, tu ne savais pas vraiment ce que tu imaginais après ta mort, tu pensais à la réincarnation souvent, ou bien au néant, chose que tu avais eu du mal à accepter comme la plupart des gens. Mais ça ? Ce monde, cette "seconde chance".

Tes souvenirs revint, bribes par bribes après ton entrée dans ce nouveau monde. Seulement ils n'étaient pas semblable à ton réel passé. Tu entrevoyais des choses que tu avais vécu, des choses que tu avais rêvés. Tes souvenirs Adria, ils sont faux, ils sont compromis. Tu es mélancolique, mais tu ne te souviens même pas que ta mort était ton choix. Tu ne l'imagines pas.
Tu vois ton sourire, tu vois les regards d'amour que tu as imaginé. Tu confonds ton passé et les songes de ton passé. Ne vois-tu pas que tu t'accroches à une illusion Adria ?
Ton passage en ce monde, cette chance de réapprendre à vivre dans un univers qui aurait pu être le tien, où les codes ne sont plus, où les individus autour de toi sont tout aussi différent, tu ne vois pas ça. Tu te raccroches à des fables d'enfant. Tu te trompes. Tu ne saisis rien.
Tu es une perte de temps Adria.

Et derrière l'écran ?

feat Daenerys 【GOT】

PSEUDO - ~~Sunnie, Hazel..~~ USURPATION D'IDENTITE MON GARS. /pardon♥/ Takumii, Bliss, Lily... WALLOUH QUOI. Takouskous pour les intimes

SEXE - F.E.M.E.L.L.E (wowow)

AGE - no. (parce que j'ai déjà des marrons glacés.) 17

BLABLA PERSONNEL - ~ je rp depuis 2ans, graph depuis 6 ou 5 je pense. Je suis du sud, on me nommes parfois l'Impératrice de la Chocolatine, c'est une cause que je revendiques. (wowow la meuf barrée) AH ET VIVE CAGE THE ELEPHANT.
"#yolo" - Epicure

COMMENT AVEZ-VOUS TROUVÉ BLINDFOLDED - j'étais à côté quant Ebene et Sahara l'ont procrée puis j'ai assisté à l'accouchement et.... cette métaphore est malsaine.

QUE PENSEZ-VOUS DU FORUM - ♥ DEUX DEESSES= bébé Dieu ♥ (que d'amour)

DES RECLAMATIONS OU RECOMMANDATIONS ? - ça manques de pomelos

LE MOT DE LA FIN - https://i.imgur.com/FG5t5to.png je me pisses encore dessus. Voilà si quelqu'un rit à ça je l'épouses direct.

codage par sahara sur blindfolded.forumsrpg.com

Merde je pensais qu'on avait été discrètes pour la procréation, désolée Taku c'est pas cool de t'infliger ça. J'aime beaucoup ton avatar et j'ai vraiment hâte de lire l'histoire d'Adria ! ** Désormais je stalk !

J'étais dans l'ombre :c Merki Cellou!
PS: désolée pour l'autoplay de la douleur, j'avais envie 8D

Je m'autorises (oui moi-même, ~~this is how we do it~~) à dp, POUR DIRE QUE J'AI ENFIN FINI.

You have bewitched me, body and soul.

BIENVENUE SUR LIBRA ••

Ca y est, te voilà validé et prêt à parcourir les grandes plaines de Libra. Tu as désormais accès à l'ensemble du forum et est libre de rp avec le reste des âmes !

N'oublie cependant pas d'aller jeter un coup d'oeil aux bottins pour faire recenser ton personnage notamment.

Et surtout, amuse-toi bien et puisse ton voyage durer ! ♥

Hé bien ! C’est exceptionnel une présentation terminée comme ça ! T’as battu ton record en rapidité Taku ? Non je déconne, plus sérieusement, très belle histoire, elle m’a beaucoup plû, j’ai trouvé qu’il y avait beaucoup de vérité dans les états d’âme d’Adria, dans son désir de rester enfant. Donc j’ai décidé que je la baptiserai White Cheeks en plus de AD, voilà ! Bref, sinon pour moi tout est en règle, je te valide ! :D

c'est peut-être mieux, parce qu'on va pas se mentir, AD c'était un peu du foutage de gueule /die
Merci Ebène !

» Is this a candle ? ▬ ft. Adria
» adria]♦ viens on est bien
» tout est trop beau •• adria
» Celui qui craint les eaux qu'il demeure au rivage (ft.Adria)

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