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 Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée]

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coeur souillé de noirceur
Stockholm
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coeur souillé de noirceur


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MessageSujet: Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée]
Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée] RxkgjUaDim 22 Mar - 18:55

Stockholm
Dogs eat dogs, everyday...
Informations Générales
APPELLATION - Stockholm.

ANCIENNE IDENTITE - Clarence Carroll.

SURNOM - Hellebore.

ÂGE PHYSIQUE - 34 ans.

NATIONALITE - Américain.

METIER - Ecrivain de romans érotiques.

LIEU DE RESIDENCE - Libra.

GROUPE - Damnés.

TRIBUT - Son instinct de survie, de cette perte découle une tendance à se lancer dans des situations périlleuses sans vraiment le réaliser.

Description Physique
« Dans le mirroir, tant de reflets... Bah moi j'cause pas aux reflets que j'connais pas! »

Stockholm, c’est le genre de mec qui présente bien, sans pour autant avoir l’air inaccessible. Un mètre quatre-vingt-quatre de musculature légèrement marquée, couverte par une peau légèrement dorée sur laquelle se dessinent quelques cicatrices et des tatouages aux arabesques complexes qui s’entremêlent dans des formes tribales. Tu t’habilles un peu n’importe comment, saisissant au hasard les fringues entassées dans ton placard, tantôt des chemises, tantôt de vieux T-Shirts affichant des blagues pourries que t’as acheté juste pour te marrer. T’as les cheveux blond cendré, long et bouclés, souvent mal coiffés, ramenés dans une queue de cheval pour éviter qu’ils ne lui cachent la vue. Mais comme il est nul pour se coiffer, il les attache mal et ses cheveux viennent souvent lui bouffer le visage.

Il a de beaux yeux, enfin, un bel œil, une bille onyx qui tranche l’âme comme une lame, qui glace le sang… Enfin, ça c’est quand il a son regard sérieux, mais ça arrive rarement, c’est un regard tellement con qu’il sort la plupart du temps qu’on ne fait même pas gaffe à sa couleur. Il dort beaucoup, mais souvent mal, alors il a des cernes, qui n’arrangent pas les petites rides venant orner son visage de bel éphèbe aux traits anguleux. Il a le nez fin, à l’arrête plate, sur lequel il vient souvent percher une paire de lunettes par-dessus son cache-œil. Ça pourrait lui donner un air de pirate, mais avec les lunettes par-dessus, il a juste l’air bizarre… Et con. Heureusement qu’il ne les porte que pour lire et écrire. Il est vaguement rasé, abordant une barbe de quelques jours, ou un rasage approximatif. Il a les lèvres fines, s’étirant en un sourire de mauvais garçon, le genre qui vous invite à vous faire plaquer contre un mur dans des toilettes publiques, le charme absolu. Non vraiment, il est charmant, il sait plaire, mais ça se lit sur sa gueule que ça ira pas plus loin qu’une baise d’un soir.  
 
ANECDOTE

« Dans mon monde 'ya des poney, et 'y font des cacas papillon! »

Stockholm il a un pomski, blanc et gris et quand il le promène dans la rue, il a autant de classe que Paris Hilton avec son chihuahua... Ouais, il ressemble à rien en fait. Mais il en est complètement gaga. Et comme il avait pas d'idée pour le nom, il l'a appelé Dog.

Stockholm, quand il écrit, il veut pas souiller l'esprit de Dog, alors il le laisse pas entrer dans le bureau, employant un dog sitter, par ce qu'il veut pas le laisser seul son chiot.

Stockholm, il a un oeil en moins, alors il fait tout le temps des clins d'oeils dans la rue. Et quand il drague, il parle de ses romans de fesses par ce qu'au moins s'il se prend un rateau, il peut se marrer en se fouttant de sa propre gueule.

Stockholm il s'était faire un tatouage dans le dos, le même que Dog, le mec, pas le chien.
description morale
« Alone is all I have, Alone protects me. »


Oh Clarence… T’es un mec un peu con, qu’à pas trouvé sa place dans la vie et qui se cherche encore. T’es pas méchant, mais t’es pas du genre à te bouger le cul pour les autres, tu les regarde sombrer en te disant que c’est pas ton problème. Mais au fond, t’es qui pour les aider alors que toi-même tu cherches à te noyer. Ça te fais frémir quand t’as mal, ya que quand t’as la chair qui devient bleue que tu te sens bien, quand tes mots acerbes et habilement pesés lacèrent l’âme et effacent la tendresse qu’on aurait pu avoir à ton égard. Tu veux pas qu’on t’approche de trop près, tu gardes tes distances et te complait dans ta propre compagnie. Mais tant qu’on vient pas te faire chier, tu restes dans ton coin, tu dragues en racontant de la merde, t’étonnant quand les gens décident de te suivre. Tu te fous un peu de tout en fait, ce qui te rend un peu trop sûr de toi et assurément trop direct.

On peut pas te reprocher d’être hypocrite, par ce que tu ne recherches aucunement la sympathie de tes semblables, trouvant cela plus simple de balancer ce que tu penses plutôt que d’essayer d’inventer un quelconque compliment. T’es surtout un gros flemmard en fait, t’es pas du genre à te donner pour les autres et s’ils veulent te côtoyer c’est à eux de se bouger le cul. T’es marrant, à ta façon, certains se foutent de toi, d’autres se marrent avec toi. Tu n’as que faire des regards et des jugements, évoluant en marge de la société comme une mauvaise herbe. T’es un esprit libre, t’as toujours refusé les carcans imposés par la société, trouvant que te laisser injecter des règles de conduite et de pensée était terriblement malsain. Tu te construit toi-même, seul dieu de ton existence, tu es ce que tu veux être et ne laisse personne te dicter la conduite à adopter, préférant te fixer toi-même tes propres règles et limites.  

Mais dans le fond t’es vide, tu te sens seul et brisé sans arriver à combler le vide qui te bouffe les entrailles, t’entraînant dans les ténèbres où tu te complais. Tu suis des étrangers, les observes, les découvres, tentant en vain de saisir ce qu’ils ont et qui te manque, tentant désespérément de comprendre l’entrelacement de leurs cellules cognitives pour en saisir l’essence. T’es curieux, probablement trop, et ton absence de sens moral te pousse souvent à aller trop loin dans tes expérimentations. Ta vision du monde est biaisée, tu sais même plus ce que c'est que d'être heureux, tu ne trouves ton compte que dans la violence et l'exagération. En plus de tout ça, t'as perdu ton instinct de survie, exacerbant ta tendance à pousser le bouchon un peu trop loin et t'arrachant parfois des réactions étranges.

histoire d'une vie
« We're all stories, in the end. Just make it a good one, eh? »


Ton histoire, elle te vend pas du rêve, tu rêvais de finir en taule, comme les mecs dans les films d’actions. De leur balancer un « Vous m’aurez jamais vivant ! » et de te jeter dans le tas, tu rêvais de finir couvert de sang, mais pas du tien… Sérieusement, Clarence, le film que tu retournais dans ta caboche n’avait rien de glorieux. Mais faut dire que tu tentais désespérément de t’écarter du chemin que la vie avait tracé pour toi. Ta véritable histoire ? Même son début il est fade. T’as été conçu le jour où la petite secrétaire avait dit oui à son patron. Une histoire de cul au boulot, qui s’était même pas finie par une plainte pour harcèlement sexuel. Ça ressemblait davantage à un scénar’ de film à l’eau de rose, tu sais, ceux qui te filent la gerbe. D’ailleurs en parlant de vomit, Clarence… C’est quand même pourri comme nom. Sérieusement, ils devaient pas t’aimer. Dès ta naissance elle te pendait au dessus de la tête, la petite maison dans la prairie avec sa chiée de mioches et ses sept chiens. T’aurais repris l’entreprise de ton père, et épousé une amie d’enfance. Ils te connaissaient même pas qu’ils t’avaient déjà condamné au bonheur, ces cons.

Mais bon, heureusement que t’es né avec un don, le don de tout faire foirer, sinon tu serais mort, noyé dans ta propre bile d’allégresse. Oh Clarence… Comment es-tu devenu aussi amer ? Ah ouais, c’est vrai, fallait que vos histoires se rejoignent. T’as vu le jour dans le berceau du Jazz, bercé par les saxos et les rires s’élevant des bars de la rue où vous viviez. Tu pouvais pas courir dans les rues, alors t’avait tenté d’escalader l’immeuble en passant par la fenêtre un jour… Ta nourrice s’était fait virer à cause de cette histoire et puis vous aviez quitté la ville pour vous rapprocher des champs de coton de ton père. La maison était de plein pied, y avait un jardin, mais tu tentais toujours de grimper sur le toit, la gueule que tes parents avaient affiché ce jour là avait dû te plaire, ou tu devais pas aimer ma nouvelle nourrice. Enfin, peu importe, ça t’éclatait de voir le monde de haut. T’avais l’impression qu’il t’appartenait, qu’il était bien plus grand. A l’époque il se résumait à quelques hectares de champs d’ouate, tes parents, quelques domestiques et l’école.
Au départ ça t’avais amusé, et comme toute chose tu t’en étais rapidement lassé. Par ce que les gosses là-bas, ils préféraient regarder les dessins animés plutôt que de lire les contes d’Andersen, tu préférais déjà les histoires tristes à l’humour grotesque, et faut dire que la télé, tu l’allumais juste pour faire râler ton père quand il tentait de travailler dans la salle commune. Tu te sentais pas à ta place parmi les gamins de ton âge. Ta rencontre avec Henri n’avait fait que confirmer ce que tu savais déjà. Ce jour là ta mère t’avait enfermé dans un tombeau de tissus noir, tu te retrouvais coincé dans des mocassins au cuir dur, te compressant les orteils et te donnant une drôle de posture. Et il y avait le nœud papillon aussi, cet horrible corde qu’elle t’avait passé au cou. Tu ressemblais à un pingouin après une overdose d’esquimaux, t’avais le ventre tourneboulé par la chaleur, mais il fallait « bien présenter ». T’aurais ris jaune, si t’avais pas eu la gorge compressée. Tout ça par ce que tes parents recevaient de la famille. Y avait oncle Sam – tu n’es jamais parvenu à retenir son nom, mais il avait une gueule de Sam – puis il y avait Eva, et enfin Henri.
T’as ri en entendant son prénom, malgré le nœud qui entravait ta gorge, par ce que franchement, il avait un nom pourrit. Tu te disais que dans ta famille, ils devaient pas aimer les gosses. Mais au moins lui, il était pas déguisé en pingouin. Ils vous avaient libérés dans le jardin, vous laissant gambader dans les champs de coton. Henri venait de la ville, pas la Nouvelle Orléans non, la vraie ville, New York, là où ils « mettaient les gens en boîte » comme tu disais. Il avait deux ans de plus que toi, mais t’avais l’impression qu’il en avait dix d’avance, qu’il appartenait carrément à un autre monde. Il avait la tenue d’un roi dans son T-Shirt et son jean de marque, alors que toi, t’en menais pas large dans ton costard miniature. T’avais viré tes grolles dès que tes parents eurent le dos tourné et t’étais parti courir dans les champs et chasser les insectes. Tu lui filais la gerbe à Henri, franchement les verres de terre, il aimait pas ça. T’avais tout tenté pour lui plaire, allant des araignées aux sauterelles, tout en passant par les milles pattes. Mais tu t’y prenais comme un pied pour l’amadouer. Il avait soupiré, et t’avait poussé dans la boue avant d’aller lire dans la grande salle. Toi quand t’es rentré pour le suivre, tu t’es fait engueuler par ta mère, et lui il se marrait, vautré sur le canapé. Elle t’avait passé un savon, au sens propre comme au figuré, et puis t’avais enfin pu rejoindre Henri pour lire à côté de lui. Il t’avait alors sourit, faut dire que t’étais moins repoussant sans ton masque de terre. Quand il était rentré chez lui, ça t’avait fait tout drôle, te laissant comme un vide.

Après son passage ta vie t’a semblé encore plus morne. Tu passais ton temps à penser à lui, à New York, tu t’étais même mis à regarder la télé, pensant que tu pourrais l’y voir. T’étais vraiment à côté de la plaque. T’avais huit ans lorsqu’il était revenu, t’avais lutté contre le costume mortuaire, tu te sentais grand. Tu l’avais même embarqué sur ton toit, pour regarder les étoiles. Mais une fois encore tu t’étais senti petit face à lui. Cette fois il t’avait parlé de New York, de son école, de Jane, sa petite copine. Et toi tu buvais chacune de ses paroles, comme un décret divin s’écoulant des cieux. Il t’offrait un autre monde, t’emmenait ailleurs l’espace d’une nuit. Vous vous étiez endormis sur le toit, vos parents avaient dû y grimper pour vous chercher. Et il était partit, encore une fois.
Ta routine recommença, tu continuas à chercher comment l’impressionner. Il revient deux mois plus tard et à la place des insectes et des étoiles tu lui vendis la mer, le mois suivant tu initiais des rites vaudous sous ses yeux interloqués, prétendant que les sorcières du vieux carré t’avaient montré, mais tu ne faisais que reproduire ce que tu voyais à la télé. T’avais même tenté de te construire une vie, des amitiés, histoire de l’impressionner, t’avais troqué tes contes sombres pour les films d’horreur, pas par ce que tu trouvais ça plus intéressant, juste pour faire comme Henri et trouver ta Jane. Mais à chaque fois qu’Henri venait il avait des histoires plus impressionnantes que les tiennes et toi tu l’écoutais, les yeux brillants. Tu savais tout de Jane, de New York et de la romance, tu t’en étais fait une idée si précise que lorsque tes parents déménagèrent pour s’y rendre tu pensais tout connaître.
Et pourtant, lorsqu’Henri te présenta Jane, ses cheveux étaient moins blonds que ce que tu ne l’avais imaginé, sa voix était moins douce, son sourire moins envoûtant qu’Henri ne te l’avait décrit. Et puis franchement, elle était sotte. T’avais treize ans et ta tête blonde s’était déjà vidée de toutes ses illusions. T’appliquais les techniques de drague enseignées par Henri pour lui ramener de nouvelles filles sous le nez, pour lui montrer qu’il n’avait rien pigé à ses propres récits. Mais Henri était aveuglé par l’amour et surtout… Il était plus con que tu l’avais pensé. En le côtoyant le mythe s’était effondré, Henri n’était qu’un garçon de quinze ans, le temps te dévoilant ses défauts.
Leur première rupture arriva quelques mois après ton arrivée. T’avais pas trop compris pourquoi, mais Henri était chamboulé. De ses lèvres ne s’écoulaient plus les milles et unes merveilles de la caverne d’Aladin, mais juste une bile insipide venant souiller les souvenirs que tu chérissais. Alors tu l’avais embrassé, juste pour qu’il ferme sa gueule et contre toute attente il t’avait laissé faire. Le pauvre, il devait vraiment être désespéré. Tu sais toujours pas s’il y avait plus que du mépris dans ton baiser, tu ne t’es jamais demandé si tu l’aimais, par ce que ç’aurait été rendre réel un sentiment qui ne te serait jamais rendu. Il attendit dans tes bras, quelques heures plus tard ils étaient à nouveau ensemble. Quelques mois après ils étaient séparés, et tu l’embrassais à nouveau. Cette absurde mascarade dura quelques années, jusqu’au moment où Jane se lassa de ce jeu, laissant Henri pendu à tes lèvres sans jamais retrouver la chaleur de celles de Jane.

Après ça tu t’étais lassé, t’avais cherché l’incarnation de tes idéaux ailleurs que dans ce couple brisé. Il y avait eu Kim, puis Ashley, deux Alice et même une Phyllis dans le tas. Il y avait aussi un Stan, et d’autres dont tu as oublié le nom. Tu te fichais bien du genre, te contentant de chercher de quoi pallier au manque que les mensonges d’Henri avaient laissé en toi. T’enchaînais les conquêtes sans trouver ce que tu cherchais, tu sais même plus quand t’as arrêté. Peut-être quand t’as commencé à boire, à draguer dans les bars en racontant de la merde. T’avais au moins le bénéfice d’être original, proposant à tes conquêtes d’un soir des séances de spiritisme pour leur faire rencontrer leurs morts. On pouvait pas tomber davantage dans le mauvais goût, t’aurais même été capable de draguer aux enterrements… Mais le pire, c’est que ça marchait, avec certains. Et les autres t’en voulait pas de toute façon. Tu perdais pied, noyé entre le stupre et l’alcool, te rendant hermétique au monde qui t’entourait. T’avais déjà fini tes études quand t’avais vraiment plongé, tu bossais chez ton père, mais même lui avait fini par te virer. De toute façon la compta, ça t’avais jamais plu. Et ta mère elle, elle chialait et priait pour ton âme. Elle disait que tu crèverais sous un pont, une balle dans la tempe, à un pont près, elle avait raison.  

T’enchaînais les petits boulots pour survivre et puis, probablement par nostalgie, t’étais retourné là où tout avait commencé, la Nouvelle Orléans. T’avais alors 26 ans et tu redécouvrais le monde qui avait bercé ton enfance d’un regard glacé et désintéressé. Un peu plus d’un an plus tard tu te retrouvais le cou entravé de perles, marqué par les baisers d’un inconnu. Vous vous perdiez l’un dans l’autre dans une communion spiritueuse où vos esprits s’élevaient dans des battements d’ailes anisées. Il s’appelait Dog, un autre nom de merde, mais à force tu t’y es fait et ton rire tu l’as étouffé contre ses lèvres. Vous étiez bourrés, vos cerveaux ravagés par l’alcool. Tu l’avais embarqué chez toi après une partie de jambes en l’air coincés entre deux poubelles, l’odeur des tissus organiques en décomposition se mêlant à ton eau de Cologne et aux senteurs de l’eau de vie et du tabac refroidi, le glam du premier rendez-vous. Tu devais être las de tourner en rond sur l’équateur de ton propre monde, par ce que cette fois t’avais pas envie qu’il se tire. Tu l’observais, les rais du soleil filtrant à travers les stores redessinant son corps de jeune ado entrant dans l’âge adulte. Dog il n’avait… Rien à voir avec Henri et les idéaux que tu avais abandonné lors du précédent paragraphe.  Dog, c’était un chiot, perdu, paumé, c’était peut-être ça ouais, t’avais besoin d’un animal de compagnie.
Puis le chiot entra dans l’âge adulte, le chiot se mit à mordre et à aboyer contre ceux qui osaient poser le regard sur toi. Et toi putain, tu aidais pas. T’avais arrêté tes conneries, ton père t’avait même rendu ton boulot et laissé l’appartement que vous aviez envahit le soir de votre rencontre en défonçant la serrure - heureusement que les voisin te connaissaient – mais tu pouvais pas t’empêcher de sourire et de lancer des regards, comme un fantôme de ton déclin te collant à la peau. Mais tu l’aimais Dog, tu cherchais pas à aller voir ailleurs, l’ailleurs venait à toi, se dandinant sous ton nez comme une carotte bien juteuse, et toi t’étais la mule de cette histoire. Tu les voyait, la souffrance de Dog, ses peurs, t’as jamais cherché à les plaquer. Tu les laissais mariner dans leur propre noirceur, observant le composé de réactions qui en résulterait. T’as été un connard sur ce coup là, Clarence. Par ce que franchement, vous aviez tout pour être heureux, mais tu me diras, c’est un peu l’histoire de ta vie hein. Ça t’avait amusé au départ, et puis t’en as eu marre. Pour toi les relations c’était à la carte, t’étais trop con pour réaliser que t’y tenais vraiment à ce gars. T’as repris à boire, mais cette fois le verre de trop ne t’avais pas plongé dans le terrier du lapin d’Alice, il n’y avait pas de merveilles, juste du désespoir.

Le type devait à peine avoir vingt-cinq ans, il te collait dans ce bar comme l’odeur de Bourbon qui ne quittait tes lèvres. Il parlait trop, beaucoup trop, même le Jazz n’arrivait à étouffer ses balbutiements se voulant charmeurs. Alors tu l’avais embrassé. Logique de mec bourré dirons-nous. La vérité c’est que t’avais juste besoin de souffler, d’oublier ton chiot égaré. Quand il t’as sorti le classique « Chez toi ou chez moi ? » un peu trop tôt à ton goût, t’as hésité un instant. Tu sais pas ce qui t’es passé par la tête, mais au moins t’as pas fait ça chez vous. Quand tu t’es barré sans un mot, le type t’a rattrapé pour t’embrasser sur le pas de la porte, espérant probablement que ça irait plus loin. Et ce fut le cas, mais pas dans le sens où il l’avait espéré. Quand t’es rentré, Dog avait la mine plus sombre qu’à l’accoutumée, il savait, mais t’espérais qu’il fermerait sa gueule. T’as attendu qu’il te crache son venin à la figure, impassible, avant de lui adresser ton éternel sourire plat. Lui disant que ouais, tu t’es perdu sur le corps d’un autre, par ce que t’as trop bu, par ce qu’en ce moment il était chiant… Mais putain, c’était pas sa faute, t’es vraiment un connard Clarence. Il t’a éclaté tes lunettes sur la gueule, t’y as perdu un œil, et c’était bien fait pour ta gueule. Franchement, vous étiez pas fait pour être ensemble, mais t’avais pas envie de le laisser partir. Dog aurait pu être ce que t’avais toujours cherché, si seulement t’avais insisté, si tu lu avais tendu la main sans l’écarter au premier grognement. Mais t’en avais marre d’aller dans sons sens, t’étouffer pour le laisser respirer. T’avais pas envie de jouer les nounous, de lutter contre ses démons pour que tes sentiments l’atteignent.

Et pourtant lui, il t’a tout donné, sans retenue. Tu l’as vu tenter de changer, et encore une fois, tu l’as pas vraiment aidé, ton petit chiot. Tu le regardais se débattre sans lever le petit doigt, comme te demandant s’il coulerait sans toi. Peut-être que t’avais envie qu’il coule, pour te dire qu’il s’accrochait pas à toi pour rien, que tu lui apportais du bon… Et il a coulé.  T’étais dans le salon en train de noircir ton écran des capitaux de l’entreprise familiale quand le coup est parti. Tu t’es figé. Puis tu t’es redressé pour le rejoindre, prenant ainsi part au dernier acte de votre histoire absurde. T’as posé un regard vide sur le sac qui traînait dans l’entrée, puis t’as plongé ton iris d’acier dans les siens. Vous aviez l’air tellement cons, tellement pathétiques, t’en es-tu seulement voulu ? Sa vie le quittait pour le plancher chaud de vieux chêne, et toi t’es venu poser ton cul dessus alors qu’il s’excuse. Tu le prends dans tes bras sans trop comprendre, t’as le sang qui bat dans tes tempes, mais tu ne laisses rien transparaître, tu lui dis juste que tu l’aimes, par ce que c’est vrai, c’est probablement la seule certitude que t’aies jamais eu. Tu saisis sa main qui tient le flingue et te l’enfiles dans la bouche. Ses mots te font mal… terriblement mal, au point qu’une larme vient perler au coin de ton œil, là tu regrettes, mais tu peux plus revenir en arrière. Tu te contentes de rabaisser l’arme, de sourire et de l’embrasser une dernière fois. Ce qu’il pouvait être con ce gosse. Tu lui balances ton dernier « Ta gueule » avant de te faire sauter la cervelle.

Mais la balance a penché du mauvais côté, t’as balancé un tribut, t’as perdu ton instinct de survie, te voilà damné. Mais quelque part, c’était un peu ta faute tout ça… Si t’avais été moins con ç’aurait pu être différent, mais il est trop tard maintenant.

Tu t’es retrouvé à Libra, t’as fini écrivain… T’avais commencé par écrire des trucs beaux, mais t’as vite sombré dans le glauque pour dériver dans l’érotisme. Tu te cherches encore. Tu dragues comme un con dans les bars, souvent des bruns ou des brunes. Tu passes tes journées à dormir ou à glander, souvent en retard sur tes délais. Parfois tu suis des inconnus, relativement discret, retraçant le fil de leur quotidien, prétextant que c’est pour tes livres quand tu te fais griller. Tu cherches quelque chose, t’as comme un vide en toi, des vieux relents de sensations oubliées. Tu te fous souvent dans la merde, comme si ça te plaisait, tu frémis quand ta peau se couvre de bleus et que ton poing s’éclate sur la gueule d’un autre… T’es pas enragé, non, t’en as juste besoin, comme une drogue, comme si c’était la seule chose qui te faisait sentir vivant.

  
Et derrière l'écran ?
feat Worick Arcangelo 【GANGSTA】

PSEUDO - Cyd'

SEXE - BOOBIES! /o/

AGE - Née le 08 août et j'ai 22 ans... MUFFIN! /o/

BLABLA PERSONNEL - Même que moi des fois je vomis. Et plus sérieusement, si vous voyez mon personnage changer 40 fois de sexe et d'avatar, ne prennez pas peur, c'est normal... *Finira par prendre l'indécision comme naissance* /llamaindaface/ Je m'excuse d'avance si cette fiche est nulle, je suis un peu rouillée.

COMMENT AVEZ-VOUS TROUVÉ BLINDFOLDED - J'étais venue faire une demande de partenariat, je suis restée <3

QUE PENSEZ-VOUS DU FORUM - Il est magnifique! Vos codes sont beaux, bien organisés et le design est diusfhgosdvsdsfh! *w*

DES RECLAMATIONS OU RECOMMANDATIONS ? - Restez comme vous êtes, vous êtes parfaits!

LE MOT DE LA FIN - Pink, fluffy unicorns! /o/

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MessageSujet: Re: Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée]
Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée] RxkgjUaDim 22 Mar - 19:01

BIENVENUE ♥♥♥♥

J'ADORE TA NAISSANCE
ET JE T'ADORE TOI
ET TON AVATAR.
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MessageSujet: Re: Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée]
Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée] RxkgjUaDim 22 Mar - 19:05

Nyaaaaah! *Se jette sur Heal et câline* Premier commentaire! <3
Merci beaucoup! \o/ *garde son ancien avatar dans un coin, just in case*
(Ye souis diabolikeuh! *w* /otarie/)
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MessageSujet: Re: Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée]
Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée] RxkgjUaDim 22 Mar - 19:09

J'ai tenu à être la première à te commenter. ♥
Non, pas ton ancien avatar... ;;
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MessageSujet: Re: Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée]
Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée] RxkgjUaDim 22 Mar - 19:18

Coucou. Je viens te souhaiter la bienvenue déjà 83

Personnage intéressant, mais je dois te dire que... Bah l'addiction, c'est Morphine (cf : La dépendance.)
Donc, il ne me semble pas que nous puissions avoir la même naissance (même si le terme change, le fond reste le même ?) Enfin, je laisse un admin ou un modo en décider, parce que voilà j'en sais rien, peut-être que je me trompe.

En tout cas, encore une fois bienvenue (ton avatar est cool \o/)
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MessageSujet: Re: Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée]
Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée] RxkgjUaDim 22 Mar - 19:21

Coucou! Merci Morphine! Oh je vois, c'est vrai que j'ai zyeuté dans les "A" mais je n'ai pas pensé à regarder les synonymes! Je vais changer cela du coup!
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MessageSujet: Re: Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée]
Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée] RxkgjUaDim 22 Mar - 19:27

Stockholm... La perversion, c'est un peu comme la luxure non ? Si oui, alors c'est pris aussi... ;;
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MessageSujet: Re: Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée]
Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée] RxkgjUaDim 22 Mar - 19:31

Mh je ne vois pas du tout les concepts de la même manière en fait, je le voit davantage comme la déviance, soit le fait de détourner quelque chose de sa vraie nature °° Je vais contacter un admin pour voir ce qu'il en est xD
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MessageSujet: Re: Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée]
Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée] RxkgjUaDim 22 Mar - 20:36

Coucou et bienvenue. ♥
Du coup je ne sais pas si tu as contacté un admin pour poser la question, pour moi perversion et luxure sont deux choses différentes, en particulier si tu t'appuies sur l'étymologie du terme perversion plutôt que sur son acception courante. Donc ce sera accepté. Après, peut-être serait-il plus judicieux de préférer le terme de déviance, vu que perversion peut prêter à confusion (il faut penser que dans le bottin, on n'a que le nom de la naissance et non son explicitation, déviance aurait donc l'avantage d'être un peu plus clair pour les personnes qui consulteraient le bottin).
Après, le choix est tien. =)
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MessageSujet: Re: Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée]
Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée] RxkgjUaDim 22 Mar - 20:40

Coucou! Merci pour l'accueil!
Fufufu ~ Oui j'ai contacté les admins, qui m'ont demandé de préciser le terme dans la fiche, mais je vais suivre ton conseil et mettre déviance, au moins ça sera clair pour tout le monde!
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MessageSujet: Re: Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée]
Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée] RxkgjUaDim 22 Mar - 20:50

BON. je dois dire que je love l'icon moustache.
puis plus sérieusement j'ai hâte d'en savoir plus sur ton perso choupi
et bienvenue ♥️♥️♥️
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MessageSujet: Re: Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée]
Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée] RxkgjUaDim 22 Mar - 22:48

Shiro ♥️
yay, sois la bienvenue hihi 8D
& j'aime bien le concept tout autour de ta naissance,
hâte de voir ce que ça va donner hihi :3

bon rp parmi nous (et bonne fin de fiche avant ça nawhon)
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MessageSujet: Re: Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée]
Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée] RxkgjUaJeu 16 Avr - 17:40

*arrive 40 ans plus tard*

Désolée ;^; j'ai eu beaucoup d'empêchements, mais je suis de retour et je tente de finir au plus vite!

Frejya > Hahaha merci pour l'icone <3 Je l'adore aussi =w=

Opium > Merci beaucoup pour l'accueil! /o/
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MessageSujet: Re: Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée]
Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée] RxkgjUaVen 17 Avr - 12:08

Si tu as des questions, n'hésite pas hein !
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MessageSujet: Re: Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée]
Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée] RxkgjUaMar 21 Avr - 20:31

Merci beaucoup Ebène!

J'ai enfin fini! En espérant ne pas avoir fait de boulettes, navrée pour le temps que m'a pris cette fiche et merci pour le délais ^^"
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MessageSujet: Re: Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée]
Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée] RxkgjUaMar 21 Avr - 21:00

image de bienvenue
BIENVENUE SUR LIBRA ••

Ca y est, te voilà validé et prêt à parcourir les grandes plaines de Libra. Tu as désormais accès à l'ensemble du forum et est libre de rp avec le reste des âmes !

N'oublie cependant pas d'aller jeter un coup d'oeil aux bottins pour faire recenser ton personnage notamment.

Et surtout, amuse-toi bien et puisse ton voyage durer ! ♥

Ta fiche, mais mon dieu, c'est une perle. ♥ Ta façon de raconter les choses, franchement, elle m'a tuée, vous allez super bien ensemble Dog et toi, et je suis vraiment contente que vous soyez enfin tous les deux validés, ça va promettre. 8D
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MessageSujet: Re: Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée]
Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée] RxkgjUaMar 21 Avr - 21:04

Merci beaucoup! Et ces compliments °///° ravie que la fiche t'aie plut!
Et oui, on va enfin pouvoir racconter des bêtises à deux! /o/ *sort*
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MessageSujet: Re: Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée]
Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée] RxkgjUaMer 22 Avr - 22:27

yeah ! Enfin des nôtres ! *^* Ben du coup, bienvenue dans la team rouge ! :D
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MessageSujet: Re: Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée]
Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée] RxkgjUaMer 22 Avr - 23:54

Hahaha merci beaucoup Ebène! /o/
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MessageSujet: Re: Derrière la douleur, le plaisir se contruit - Stockholm [Terminée]
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