MESSAGES ▲ : 23 DATE D'INSCRIPTION ▲ : 13/02/2015 AVATAR ▲ : Inoue Orihime de BLEACH DIT ▲ : Judas ANECDOTE ▲ : A déjà été assassinée plusieurs fois. FICHE RS ▲ : la cuvette en porcelaine
METIER - Se fait passer pour une rafleuse. Liée à des réseaux de prostitution.
LIEU DE RESIDENCE - Libra.
GROUPE - Vagabond.
NAISSANCE - la trahison ; tu trahis à tour de bras. Consciemment ou non, tu déçois toujours un peu, Attentat, tu déçois même de la pire façon qui soit - par faiblesse. Faiblesse de ton cerveau incapable de supporter tes erreurs, de ton corps incapable de porter celui d'un autre, de ton cœur efflanqué, ton cœur minuscule, incapable d'aimer vraiment ou qui aime salement, qui aime dans le sang et les larmes, le drame inutile, qui aime gorgé de clichés pathétiques. Tu déçois parce que tu es trop égoïste, parce que tu ne vois que toi ; tu déçois parce que tu ne veux pas le reconnaître. Parce que tu te persuades encore d'être quelqu'un de bien. Salope. Tu les trahis tous, Attentat, tous parce que tu n'es jamais à la hauteur, jamais là quand il faut ou si tu es là, mais c'est encore pire. Tu les trahis parce que tu ne peux pas mourir. Et pourtant il le faudrait, tu sais Attentat, il le faudrait.
Description Physique
« you have to look pretty in order to survive in this harsh world »
Attentat elle est belle comme le serait sans doute la mère de vos enfants. La poitrine forte et les hanches larges, elle suspend son geste pour qu’il soit plus doux, affaiblit son souffle pour qu’il ne résonne pas dans la pièce, fait glisser ses pieds sur le sol avec la grâce d’une ballerine pour ne pas réveiller les enfants. Sa peau est douce et chaude, ses mains habiles, son parfum discret et ses vêtements toujours propres, parfois un peu froissés et lorsque ça arrive, elle en rougit. Au fond si Attentat savait se taire, on en tomberait amoureux. Amoureux de ses yeux qui vous cherchent pour se détourner aussitôt, de ses mains qui frôlent plus qu’elles ne touchent, de ses politesses murmurées du bout des lèvres comme on murmurerait le désir. De son instinct de femme, de tout ce qu’elle a de sensuel presque par erreur, par négligence, quand elle laisse pour un instant tomber le masque, instant volé, car elle le remet aussitôt et c’est sa précipitation qui la trahit, sa culpabilité qui séduit - comme prise en faute. Mais tout ça, Attentat le sait, inconsciemment, elle le sait et pire, elle en joue. Elle feint l’innocence à la perfection, tout simplement parce qu’elle y croit - Attentat est éternellement vierge, indécise, prude jusqu’au bout des ongles. Eternellement page blanche, et c’est l’illusion qui la sauve, sauve des bleus et des suçons, la sauve de sa propre prostitution. C’est l’illusion qui sauve ses amitiés, car elle est belle Attentat, elle est belle et douce, les cheveux longs et lisses, la peau grise qu’elle maquille, les dents pointues, blanches, les lèvres pleines, les yeux bleus, elle est belle Attentat d’une beauté qui donne envie de l’aimer - et il faut au moins ça, il faut l’aimer avant qu’elle n’ouvre la bouche si l’on veut être un jour capable de lui pardonner.
ANECDOTE
« we need to discover what is hiding behind that soul »
N'a pas d'utérus.
Collectionne les vases.
Tient sa maison à la perfection.
Fume uniquement le soir.
Déteste le thé mais se force.
De manière générale trouve à la nourriture un goût infect, comme si son palais n'était pas celui des hommes.
Cuisine cependant beaucoup.
Porte une alliance en toc.
Toujours en retard.
Se touche le ventre quand elle est anxieuse.
A quelques plantes vertes à qui elle parle très mal.
Se répète beaucoup.
A déjà été assassinée plusieurs fois.
description morale
« et toutes ces banalités qui perlent à ses yeux, ses mensonges pieux, son crime impardonnable »
Le petit doigt relevé. Toujours. A chaque instant de la journée.
Lorsque tu repousses la couette, en plein après-midi, pour te lever ; lorsque tu tires les rideaux dans le salon, emmitouflée dans un peignoir rose pâle, pieds nus, déjà maquillée ; lorsque tu soulèves ta première tasse de thé, en lisant le journal, assise sur la table de la cuisine - chez toi tu n’utilises jamais les chaises, elles sont réservées aux invités - ; lorsqu’enfin tu ouvres ton livre de comptes et tu constates, satisfaite, que tu pourras bientôt faire construire la piscine dont tu rêvais tant. Une piscine, tu as toujours trouvé que c’était le summum du luxe. Ça, et l’embarcadère au port, le bateau au ponton. Mais pour l’embarcadère, il faudra attendre encore un peu. Moins longtemps, cela dit, les moissons deviennent de plus en plus riches. Il y a un proverbe qui dit, très justement, que le malheur des uns fait le bonheur des autres - le malheur des uns fait ton luxe, et tu t’en laves les mains. Tu t’en laves les mains car tu estimes que tu es la seule à avoir vraiment souffert. Tu estimes, bien à tort, que tout t’est excusé sur la somme des malheurs que tu as déjà subis. Tes peines. Tes chaînes.
Les larmes que tu noieras à loisir dans ta piscine flambant neuve.
Tu l’as rêvée si fort, cette piscine. Tu as déjà nagé tant de fois dans ses eaux pures, dénuées de tout parasite, ses eaux cristallines. Tu y as nagé nue, complètement nue, sous la lumière pâle, l’halo translucide, du jour qui se finit, nuageux, du jour qui tombe mort d’une mort dont il se relèvera - comme tout le monde ici. Tu y as nagé toute habillée, le corps empêtré dans ta détresse, des cris pleins la gorge et la bouche dont le sang a tâché tes vêtements, poursuivie par des ombres à visages d’homme. Tu y as nagé morte, poignardée, étranglée, tu y as nagé les yeux fixes, tu y as erré plutôt, d’ailleurs, le corps se cognant aux rebords de cette piscine, si belle, seigneur, si belle.
Le tombeau parfait.
Mais ce n’est pas le tien, non, ça ne l’est pas. C’est le leur - leur tombeau à toutes ces femmes, toutes ces femmes qui ont pleuré le visage enfoui dans tes mains, tombées à genoux, baisant les tiens, mouillant de leurs larmes tes collants couleur chair. Couleur chair pour masquer ta peau, ta peau un peu trop grise pour être humaine. C’est leur tombeau, à toutes ces victimes de la solitude, et parfois tu vois leur cadavre y flotter, dans tes rêves, et parfois tu les rejoins, tu les laisses t’emporter sous la surface de l’eau ; c’est la mort la plus douce que tu connaisses.
Cette piscine, tu sais qu’une fois que tu l’auras construite, tu n’en voudras plus. Parce que peu importe les précisions que tu apporteras, peu importe toutes les précautions que tu prendras, elle ne sera jamais à la hauteur de tes espoirs. C’est une désolation.
C’est une désolation, et ça plisse ton front de chagrin. Ton petit doigt en frémit d’amertume, ton petit doigt relevé, habitude déplaisante, qui agace beaucoup de tes amies mais que tu conserves tout de même, par amour du kitsch.
Il est toujours relevé, même le soir, lorsque tu t’en vas dîner en ville, seule le plus souvent, toujours installée aux mêmes tables, une cigarette au coin de la bouche, drapée dans un long manteau noir. Tes lèvres collent au papier qui protège le tabac, humides de salive, et tu les remaquilles en sortant, tu les peins d’un rouge presque violet, et ce rouge-là tu le perdras dans le cou d’un homme, un de tes amants - et quels amants. Toujours de pauvres bougres à moitié ivres, des maris volages, des voyous sans avenir ; toujours plus pathétiques les uns que les autres, et il le faut, tu aimes quand ils sont moins cultivés que toi, quand ils te laissent faire la conversation, un peu penauds, quand ils ne savent pas faire l’amour, juste mouvoir leurs reins d’un geste trop brusque, car l’amour ce n’est pas ce que tu attends d’eux. Ce que tu attends d’eux, c’est qu’ils te déchirent en deux ou qu’ils te fassent vomir, c’est tout. L’amour c’est ce que tu leur donnes, de manière étrange, l’amour c’est ce que tu leur dédies, à eux, rien qu’à eux. Ils ne le méritent pas vraiment pourtant - même toi tu le sais. Mais tu aimes t’écorcher à leur consacrer un temps qu’ils ne te rendent pas, à courir après eux comme si c’était la fin du monde alors que tu vivais l’ennui dans leur bras. Tu aimes ces peines-là. Tu t’abandonnes toute entière aux aléas de tes passions sans gloire.
Pas dans le travail. Le travail c’est important - comme toutes ses pseudo amitiés avec les épouses bourgeoises de la ville. C’est lorsque tu travailles que tu rencontres toutes ces femmes, toutes tes victimes. Tu ne sais pas trop comment tu les séduis. Comment tu les attires à toi, comment tu les prends à ton miel. Tu ne voudrais pas le savoir, en vérité ; la vérité moi je la sais. Elles t’aiment comme tu aimes tes amants - pathétiques, frustrés, incapables de jouir. Elles t’aiment pétrie de solitude, bête comme tes pieds, ignorante encore de son propre drame. Elles t’aiment parce qu’au fond elles sentent que tu as besoin d’elles, et quelle chance unique que d’avoir quelqu’un qui a besoin de toi alors que tu viens d’apparaître au milieu de nulle part, sans bagages, sans amis. Elles t’aiment parce qu’au fond tu réveilles leur instinct maternel, brebis égarée, si frêle sur tes pattes.
Elles ne voient pas le loup au fond de tes pupilles.
Elles ne savent pas toujours à quel point le désespoir peut défigurer un être, à quel point la faiblesse aime trouver secours dans la violence. A quel point les esprits, quand ils cèdent, peuvent être dangereux. Et toi tu l’es, dangereuse, tu l’es car tu es comme la gangrène. Tu les affaiblis, lentement mais sûrement, parasite, tu les affaiblis de ton poids, car c’est tout ce que tu es au fond, un poids mort. Tu les affaiblis juste suffisamment pour que les requins qui te traînent autour puissent exploiter la brèche, pour qu’ils puissent faire leur offre.
Et elles acceptent. Pour toi. Pour rembourser tes dettes. Celles de la maison. Bientôt celles de la piscine.
Et si tu n’en as pas, ce n’est pas grave, on en invente des fausses. Toi tu ne dis rien. Pourquoi le ferais-tu ? C’est un peu ta source de revenus. Elles le font pour toi et quand elles en reviennent, un mois plus tard, changées, défigurées à leur tour, et qu’elles te trouvent dans ta maison, elles le voient enfin.
Le loup au fond de tes pupilles.
Elles te voient enfin. Toi et ta maison trop grande pour une seule personne, toi et tes vêtements toujours à la dernière mode. Toi qui les accueilles sans les reconnaître, qui vomis des banalités sur le porche, en refusant de les laisser entrer, parce qu’elles sont sales un peu, ou du moins elles le paraissent à tes yeux. Toi le monstre de lâcheté. Toi, qui les as trahies.
Toi, le pire ennemi.
histoire d'une vie
« sombre idiote »
« C’est un attentat de permettre la vie sans permettre la mort. »
Tes premiers mots, vomis du haut d’une falaise escarpée, tes premiers mots ont eu le bruit d’un corps qui se fracasse sur les rochers, un bruit que tu as aimé, inspiré très fort, pour le garder prisonnier de ta cage thoracique, pour en entendre les échos dans tes os à tout jamais. Tes premiers mots ont eu le goût de sel, et le vent qui portait des embruns a brûlé les griffures de ton corps nu, a ensanglanté tes pieds et tes mains, donné une couleur plus humaine à ta peau, enfin, ta peau grise, malade. Ta peau de la même couleur que la terre sur laquelle tu es née, argile poussiéreuse, plateau aride. Hérissé de hautes herbes rêches comme du crin, un tapis rude qui a tanné la plante de ton pied, ton pied jeune et gras, épais comme tes cuisses, le tour de tes reins, doux comme tes épaules et la courbe de tes seins. Tes seins lourds, si lourds, ceux-là même qui ont ralenti ta course, tu as peiné à cause de ces seins-là, tu leur en veux un peu, tu leur en veux d’autant plus que tu le sais, ils ne servent à rien, rien du tout ; tes hanches sont désespérément creuses. Creuses.
Tes premiers mots, constat perfide, reproche à peine voilé - Thémis, qu’est-ce que tu as cru, Thémis qu’est-ce que tu as créé ? Toi perchée au dessus du précipice, les jambes dans le vide, pliée en deux pour assister aux dernières agonies, suppliques vaines, de l’homme, celui que tu as rencontré sur le chemin et qui a pris peur, tu ne sais pas trop de quoi au juste, celui que tu as suivi par curiosité et qui a fini par se suicider. Et son âme disparaît sous tes pupilles pleines, rondes de plaisir, son âme disparaît et c’est là que vient le murmure.
« C’est un attentat de permettre la vie sans permettre la mort. »
Tes premiers mots, et ceux que tu inspiras par la suite à une foule d’autres âmes plus nobles que la tienne, plus humaines ; mais existe-il vraiment plus humain que toi ? Toi qui portes dans tes traits toute la petitesse des hommes, toute leur lâcheté hypocrite et leurs serments d’honneur. Toi l’humanité au fond, tu y crois, et tu ris de les voir fuir ce que tu es comme ils fuiraient leur propre ombre, tu ris de les voir négliger la fange dont ils sont nés et qui fait leur beauté fragile, éclat de vie blême ; qui par contraste rend leur pardon si sublime quand ils le pleurent déjà vaincus, front contre front. Tu riais au début.
Après tu les as imités. De mieux en mieux, et la pourriture de ta naissance a commencé à ressortir par plaques d’eczéma sur ta peau, puis par bleus, puis par bulles de sang. Le premier village dans lequel tu trouves refuge te chasse vite - tu ne mens pas encore assez bien. Il te chasse dans la violence, ça te paraît approprié ; tu te dis bêtement que tu aurais fait la même chose à leur place. Tu t’identifies beaucoup aux hommes, Attentat, beaucoup trop. Tu es même persuadée que tout ceci est une énorme erreur et que tu aurais dû naître parmi eux - après tout tu leur ressembles tellement.
Deuxième village, et les hommes dont tu tombes amoureuse, qui te paient sans que tu saches pourquoi, les femmes qui te traînent dans la boue, la fausse tolérance, l’air vicié du mensonge qui suinte par les pores de leur peau rose, rose, rose, ça te donne faim. Et leur nuque grasse, seigneur, leur nuque grasse et huileuse, tu pourrais les croquer tout rond mais ça ne se fait pas, alors tu te retiens. Mais quand même, juste un peu, ça ne peut pas faire de mal. Deuxième village, et tu as mordu quelqu’un. Abrutie.
Puis troisième, quatrième, puis Libra au bout de la route, Libra et tu es enfin un être parfaitement civilisé, ou du moins tu en as les apparences. Libra et de nouveaux amants, cette maison que l’on te donne, que tu dois rembourser avec ton corps mais que tu payes finalement en offrant celui d’autres, un peu usée de tomber amoureuse - tomber amoureuse, si seulement, petite prostituée. Cette maison donc, et son jardin si adapté pour y installer une piscine, seigneur, une piscine.
Cette maison, enfin, et son salon si adapté pour y recevoir des gens, des amies, poules entretenues et épouses infidèles, commères ménopausées, le gratin de la société, magnifique, splendide vraiment, et ces petits fours un délice. Cette maison, ton ancre, ton antre, cette maison dans laquelle tu accueilles, recueilles plutôt, tes prochaines victimes, dans laquelle tu les habilles et les nourris, pour qu’elles soient belles, pour qu’on veuille d’elles. Cette maison, ton paradis et l’enfer pour d’autres, le reflet de tout ce que tu as de laid, car tu l’es, laide, tu l’es, d’une laideur sans pareille ; tu l’es d’autant plus que toi tu n’es même pas humaine. Tu as tous les défauts mais aucune de leurs tendresses, pas d’éclat de vie blême, bien au contraire, toi tu as les hanches creuses, un trou dans le ventre. Tu es leur déchet, Attentat, tu ne le vois pas ? Leur déchet.
La bile infâme au fond de la cuvette en porcelaine. Cette maison, c’est ta cuvette en porcelaine.
Et derrière l'écran ?
feat INOUE ORIHIME 【BLEACH】
PSEUDO - Henri 8DDDD (et c'est vrai). Mais appelez-moi Attentat c'est plus simple ._.
SEXE - boobs.
AGE - 18 ans (20 août).
BLABLA PERSONNEL - La vérité c'est que j'adore faire des personnages glauques. Genre très glauques. Mais là je dois avouer que Attentat me dépasse ._. /out. Aimez-la quand même svp (de loin si vous tenez à rester sain). Et puis sinon j'aime les céréales (beaucoup très) et manger, toujours manger, c'est impressionnant je pourrais avoir faim toute la journée, ce serait pareil - attends j'ai déjà faim toute la journée - bref, manger ça me réjouit.
COMMENT AVEZ-VOUS TROUVÉ BLINDFOLDED - Top-site puis sollicitation de Muse.
QUE PENSEZ-VOUS DU FORUM - C'est très laid. Sincèrement. Du fond du cœur. Appelez Valérie Damidot.
DES RECLAMATIONS OU RECOMMANDATIONS ? -Appelez Valérie jvous dis.
LE MOT DE LA FIN -
codage par sahara sur blindfolded.forumsrpg.com
Opium
conscience vouée à l'errance
MESSAGES ▲ : 1135 DATE D'INSCRIPTION ▲ : 30/12/2014 AVATAR ▲ : Kirishiki Sunako 【SHIKI】 DIT ▲ : La Désolation ANECDOTE ▲ : ▬ dealeuse à la ville de libra ▬ observe les humains car c'est le seul moyen de comprendre pourquoi elle est née ▬ souffre pour l'éternité FICHE RS ▲ : www
Bienvenue, et bon courage pour la suite de ta fiche. Rien que ton nom, j'avoue que ça m'a interpellée, j'ai hâte de voir ce que va donner ton personnage.
Attentat
conscience vouée à l'errance
MESSAGES ▲ : 23 DATE D'INSCRIPTION ▲ : 13/02/2015 AVATAR ▲ : Inoue Orihime de BLEACH DIT ▲ : Judas ANECDOTE ▲ : A déjà été assassinée plusieurs fois. FICHE RS ▲ : la cuvette en porcelaine
Ca y est, te voilà validé et prêt à parcourir les grandes plaines de Libra. Tu as désormais accès à l'ensemble du forum et est libre de rp avec le reste des âmes !
N'oublie cependant pas d'aller jeter un coup d'oeil aux bottins pour faire recenser ton personnage notamment.
Et surtout, amuse-toi bien et puisse ton voyage durer ! ♥
Oh la la, excellent choix d'avatar ! *^* et puis tu es rousse, c'est précisément pour cela qu'il nous faut un lien ! J'ai beaucoup aimé cette fiche de présentation, elle est bien écrite et facile à lire, tout ce que j'aime. Attentat a un côté très lady maléfique, c'est charismatique, et comme j’apprécie de plus en plus ce personnage, je te valide ! :) Bon jeu à toi !
Adria
corps éthéré de pureté
MESSAGES ▲ : 213 DATE D'INSCRIPTION ▲ : 30/05/2014 AVATAR ▲ : Daenerys DIT ▲ : Ad ANECDOTE ▲ : - claustrophobe - bordélique - les transporteurs la rendent malade - elle boit et fume depuis son arrivée ici - elle dessine ou s'endort n'importe où FICHE RS ▲ : et plonger au sommet avec ombres et nuages (rps)
me gusta tellement Bienvenue déjà, "A quelques plantes vertes à qui elle parle très mal."... maman ? /die de la naissance au pseudo, aux anecdotes et à la rousseur (bon orihime je suis désolée mais c'est un traumatisme, j'ai passé 8h de leekspin depuis j'suis allergique mais bon D8) et puis, poto de grosse quoi. Manger = Vie. C'est quoi le sens de la vie si c'est pas la bouffe srsly. Bref, me gusta bcp