mille grammes injectés • sucre (terminé avec love)
Sucre
coeur souillé de noirceur
MESSAGES ▲ : 332 DATE D'INSCRIPTION ▲ : 09/01/2015 AVATAR ▲ : France ▬ Hetalia DIT ▲ : chevalier. ANECDOTE ▲ : son tribut est qu'il est condamné à ne plus jamais dire la vérité. il est accessoirement confiseur et claustrophobe. FICHE RS ▲ : crache ton miel •
Sujet: mille grammes injectés • sucre (terminé avec love) Ven 9 Jan - 17:32
sucre
un fil d'or restait attaché au centre de sa poitrine
Informations Générales
APPELLATION - sucre ANCIENNE IDENTITE - archibald daure. SURNOM - chevalier. ÂGE PHYSIQUE - vingt-neuf ans. NATIONALITE - française. METIER - confiseur, spécialisé dans la production de guimauves. LIEU DE RESIDENCE - à libra. GROUPE - damné. TRIBUT - sucre ne peut plus dire la vérité. Chaque mot qui roule hors de ses lèvres est enrobé d'un glaçage de mensonge. Il ne peut pas non plus l'écrire, ou même protester, où même l'expliquer. A trop vouloir être franc il s'en est coupé les lèvres.
Description Physique
« on pouvait y marcher pieds nus »
Sucre à le parfum sucré des guimauves et la démarche lascive. Nonchalant, il plonge ses mains salies d'éclats d'amandes au fond de ses poches et taille au cœur de ses lèvres un éternel sourire. Ses cheveux sont filaires et sa large main glisse de son front à sa nuque pour les rabattre en arrière. La négligence fait tomber ses sourcils ; sa barbe gratte son menton. Sa chemise est froissée et ses avant bras découverts ; son haut front frappe le ciel et ses yeux rieurs glacent ses petits bonbons. Quatre boutons de sa chemise sont défaits.
ANECDOTE
« qui faisait derrière lui une traîne de petit roi »
Mort après trois jours confiné dans un éboulement, Sucre n'aime pas qu'on le retienne contre sa volonté, que ce soit entre quatre murs maigre d'un petit placard où deux bras puissants d'un corps en feu.
description morale
« elles étaient violentes, ses colères »
Quatre regards, un sourire. Le pouce qui s'étend d'ouest en est sur sa lèvre inférieure. Elle tressaute, il rit et tend le petit paquet de soie blanc qui contient trois guimauves aux amandes amères. Elle le remercie et glissant ses ongles derrière le lobe de son oreille et la poudre aux joues, s'en va.
Sucre est si gentil, tout saupoudré de douceur, avec son sourire délicat et ses belles épaules. Il se donnes des airs, de grands airs, de petits airs, des airs toujours charmants alors que le dégoût se meut comme une couleuvre malade dans sa gorge.
Il n'est que mensonge et menterie, mais le choix lui a été soufflé. Dans son sternum il garde les tumultueux remous de sa sincérité.
― Vous êtes très jolie. ― J'aime votre parfum. C'est du musc ? ― Mais non, vous ne m'embêtez pas. ― Évidemment que je vous apprécie. ― Voyons, vous n'avez rien à craindre auprès de moi.
Sa perfidie rebondit sur ses berlingots mais personne ne l'entend. Il est muet de sa mauvaiseté et se fond dans une rage de pierre. Ses crachats sont devenus secs, et parce qu'il s'est toujours pensé comme le roi des autres trop de mièvreries glissent loin de sa langue.
Il est confiseur ; mais déteste sa boutique. Il est sucré ; mais déteste son goût. Il est aimable ; confident ; épaule ; main large ; sourire ; vendeur ; il voudrait leur vomir dessus.
Parfois une clope remplace les bonbons sur son palais.
Sucre est esseulé, pris pour quelque chose qu'il abhorre, condamné par le cuivre à ne jamais étaler les entrelacs de ses pensées irrévérentes. Au début, ce fut dur, c'étaient des poings et des phalanges prêts à s'éventrer, noyé dans refoulement de sa condescendance. Mais maintenant c'est la nonchalance, le désintérêt, l'habitude. Il soupire des demi-mensonges, joue de son tribut en le faisant basculer d'une main à l'autre. Il séduit ; déboutonne les quatre premiers boutons de sa chemise blanche et vient exhaler ses douceurs dans le creux blanc d'une cuisse. Il cueille les frissons dans l'angle d'une nuque et le divertissement dans le vrombissement des reins. Il les trouve si idiots.
Désabusé, Sucre contemple le monde depuis ses monts de réglisse. Son arrogance se tapit dans les plis de ses lèvres et dans ses mille mimiques de tendresse. Il secoue un poignet, craquelle sa colonne et prend goût à ses fables. Absolument satisfait d'être l'unique à enserrer l'horrible vanité de leurs âmes.
histoire d'une vie
« cette cueillette de juin donnait des amandes plates au goût de sève »
Je ne me souviens plus exactement quand est-ce que je suis devenu un sale con, mais les faits sont là – je suis un sale con. Je suis un sale con qui sort sa langue dès qu'il le peut et qui ne l'utilise jamais pour racler le fond de ses poches. Je suis un sale con qui aime quand le soleil lui brûle la face et des lèvres le ventre. Je suis un sale con qui n'aime pas faire semblant ; un sale con authentique. C'est plutôt rare, mais on ne m'a jamais remercié pour ça.
Comme tous les enfants, mes parents ont voulu m'apprendre à ne pas mentir. Et même si le monde pardonne les petits mensonges, j'ai grandi en décidant que je n'en tolérerait aucun. Dans ma bouche ne gisait que le tact et la franchise, ondulée de condescendance.
On m'a condamné pour être honnête. Puis-je y faire quelque chose si l'humanité est imbécile ? Probablement pas ; je voudrais les fumer comme je fume mes cigarettes. Voir le bout de leur tête s'embraser.
Bien sûr je ne suis pas méchant. Non on ne peut pas dire que je sois méchant. Je ne suis pas violent, ni plus alcoolique qu'un autre homme en soirée, ni mesquin, ni manipulateur, ni roublard, ni crevard. Enfin je ne l'étais pas. Je n'avais juste pas envie de mentir aux imbéciles.
Imbéciles – imbéciles, c'est vraiment le terme. Ils chouinaient tous en sanglotant sur leur page Myspace à quel point l'hypocrisie, c'était mal, à quel point l'hypocrisie, c'était méchant, à quel point l'hypocrisie, ça tuait des chatons et ça faisait qu'ils allaient se tailler les veines dans la baignoire. Ils auraient tous voulu que je le sois ; quand on leur balance des vérités à la face, ça les écorche, ils chialent.
Ils chialent comme des gamins imbéciles, ces imbéciles. La vérité leur est insoutenable, et moi, prophète, je la portais haut les lèvres fières d'un sourire.
Les moins imbéciles, mais jamais plus intelligent que moi, trouvaient grâce à mes yeux ; ils devinrent mes amis, et pouvaient se compter sur le pouce et l'index. Je bossais dans une petite boîte de réalisation audiovisuelle ; j'occupais mes doigts à pianoter sur Finalcut et montait, inlassablement, les séquences de films bidons et insipides que la nouvelle réalisatrice inspiration nouvelle vague avait réclamé. C'était un peu de la merde.
Bastien était mixeur son, et nous étions souvent amené à travailler ensemble, côte à côte. Ses cheveux étaient bruns et volaient autour de son visage comme des plumes arrachées de corbeaux. Ça lui donnait un air furieux ; il n'y avait personne de plus doux que lui. Il avait toujours son t-shirt sale, avec la tâche de sauce bolognaise datant de l'italien d'hier soir. L'odeur de sa transpiration empestait la cabine de montage et coulait sur les touches de mon clavier, me forçant à relever mon visage vers lui.
Bon sang, il m'excitait. ― Tu m'excites. ― La ferme, ducon. ― T'avais qu'à prendre une douche.
Je souris. Qu'est-ce que c'est bon de se faire envoyer chier comme ça. Ça change des sanglots et des plaidoiries serpillières. Les gens préfèrent toujours quand on leur sert de jolis mensonges pourris dans le sucre. Je ne suis pas quelqu'un de sucré – je dirai plutôt que je pue un mélange entre la merde et le pétrole, et c'est peut-être pour ça que Bastien n'a jamais voulu coucher avec moi.
Mes doigts pianotent sur les raccourcis, j’entends les siens battre le même rythme. Je ne suis pas toujours obligé d'ouvrir ma gueule, alors je la ferme, un peu. Je l'écoute.
Heureusement que le monde n'est pas uniquement constellé d'imbéciles.
Il y a cette fille, au bout de la salle, l'assistante réalisatrice. Elle a de lourds cheveux bouclés comme des méduses entrelacés. Elle est toute petite, fait toujours tomber le cahier des charges, trébuche sur les câbles au sol et s’engueule une fois sur deux avec le cadreur. Elle est gentille, et comme tous les gens gentils, je la fous dans le sac infini des personnalités inintéressantes.
Huitième jour de boulot, la réalisatrice donne ses ordres secs sur une scène de nu, Bastien débarque dans la cabine de montage et attend qu'elle s'en aille. Je regarde les corps dépouillés luire sur l'écran de Mac. Il soupire derrière. ― Émilie veut t'inviter à sortir. ― Émilie ? ― L'assistante réalisatrice. Avec ses cheveux comme des méduses entrelacées. Je hausse les épaules. ― Elle a l'air inintéressante. ― Elle est plutôt sympa, tu sais. Tu devrais tenter le coup. Je fais basculer ma tête en arrière et le regarde. ― Qu'est-ce que tu essaie de faire, là ? Il soupire, passe une main sur son absolument magnifique visage mal rasé. ― De te rendre gentil. Je ricane et rabat mon visage. ― Je ne suis pas méchant. ― Tu devrais essayer quand même. ― Je préférerai coucher avec toi. ― Je vais me marier, Archibald.
Le silence court sur ma nuque. Je place une scène sur la timeline, le raccourcie un peu pour que ça se cale avec le son. Final cut plante, je serre les lèvres. ― Et alors ?
Il a fini par me convaincre, tout simplement parce qu'il m'a mis en colère et parce que je suis un sale con. J'attends la fin de mon heure sup', parce qu'on fait toujours des heures sup' avec cette odieuse et médiocre réalisatrice, et je fonce voir la fille-méduse qui récupère son sac dans les vestiaires. J'allume une clope à l'intérieure ; la fumée obstrue mes narines. ― Salut. ― Tu n'as pas le droit de fumer ici. Elle remonte la bretelle de son sac style hippie sur son épaule. J'écrase ma cigarette sous le petit lavabo inutilisable du coin et la jette décapitée dans la poubelle. ― Écoute, on m'a dit que je te plaisais, mais toi, tu ne me plais pas. Je te trouve inintéressante et à peine jolie. Mais je viens d'apprendre que mon pote, avec qui j'ai envie de coucher depuis des années, va se marier, et vu que je peux rien y faire et que je suis frustré, je suis d'accord pour coucher avec toi, mais ce sera tout ce que tu auras. T'es d'accord ? J'ai mal éteint la clope, elle fume encore et ça sent le plastique brûlé. La fille-méduse à maintenant l'air d'un hiboux coloré, avec ses joues rouges et ses yeux gros comme des billes. J'attends qu'elle refuse, je m'en fous ; j'ai fait le geste, Bastien ne pourra rien me reprocher. Je lui tourne le dos et pousse la porte lorsqu'elle me rattrape avec ses mots. ― D'accord. Bastien a peut-être raison ; je ne suis pas vraiment gentil.
Le film de la réalisatrice a fait un gros bide et a coulé la minuscule boîte pour laquelle je bossais – elle s'est rendue compte un peu tard que sa créativité avait la profondeur d'un fruit de mer et que son unique scène de nue qui aurait pu la vendre auprès des intello-pervers était d'une platitude morbide.
Après sa première fois, la fille-méduse n'est pas revenue me voir. Je ne pense pas avoir été méchant ; dans les instants intimes, je n'ai plus cette odeur de merde et de pétrole, je deviens un peu plus sucré, un peu plus comme ce que Bastien attendait de moi, et c'est sûrement parce qu'il noie ma tête lorsque ma peau brûle.
Il va se marier, et je suis un peu trop con pour lui confier que ça me fait mal au cœur. Son mariage est pour Noël, parce que lui aussi il a toujours aimé emmerder les gens, et parce qu'il sait que je suis toujours seul à ce moment là. Il m'appelle deux jours avant ; je vois son nom qui s'affiche sur l'écran et qui vibre dans mon crâne aussi fort que cette coque en plastique. Je décroche. ― Ouais ? ― Archibald, t'as pas répondu à l'invitation. ― Quelle invitation ? ― Joue pas au con. Pour mon mariage. Je la regarde du coin de l’œil, toute ivoire, toute cramoisie, avec son ruban délicatement noué, abandonnée sur mon bureau à côté des factures EDF, l'invitation à mon nom. ― Ah, ouais. C'est quand ? ― Putain, t'es nul comme témoin. Ça me fait mal au cœur. ― C'est pour Noël. ― Désolé mec, je serai pas là. J'ai prévu des vacances aux îles, la mer, les filles, tout ça, tu vois. Il reste silencieux un moment et dit avant de raccrocher : ― T'es vraiment un sale con, Archi.
J'avais menti. J'avais menti, il m'avait poussé à mentir parce que cet imbécile n'arrivait pas à comprendre qu'un sale con était véritablement amoureux et dépendant de lui. Pour ne pas me trahir, j'ai fini par commander sur internet des billets par cher pour une destination dans les îles, laquelle, je ne m'en souviens plus trop, j'ai pris une valise, un maillot de bain, des préservatifs et je me suis cassé.
J'appris en arrivant que c'était en Indonésie, et j'appris, bronzant à demi-nu sur la plage, réveillé de mon sommeil colérique par une horde de cri, qu'un tsunami approchait. C'est assez triste de dire que la vague ne m'a pas tué ; que mes poumons ne se sont pas gorgé d'eau ; que je n'ai pas été fracassé contre un palmier ; empalé au bout d'un panneau de signalisation ; écartelé dans un éboulis de ferraille.
J'ai poussé des gens devant moi, je les ai fait tomber, je me suis réfugié dans un hôtel, le plus haut possible, et alors que mes jambes hurlaient pour ma vie moi je détestais Bastien que je rendais responsable de m'avoir envoyé ici. Juste parce que ce petit con avait trouvé le bonheur.
Si la vague ne m'a pas tué, l'éboulement de l'hôtel non plus. Sous les débris, ma carcasse s'est retrouvée coincée sous une poutre de fer ; mes jambes on été tellement brisés que mon fémur est ressorti en pointant le ciel d'un air accusateur.
J'ai attendu trois jours. J'ai attendu trois sales jours de merde à ruminer et à macérer dans la boue, à penser à Bastien, à penser à son mariage, à penser qu'il ne saurait peut-être jamais dans quel île je m'étais enfui, à penser que j'aurai pu être son témoin, à penser que si j'avais été un peu moins con, un peu moins prétentieux, méprisant, supérieur, à penser que peut-être si j'avais fait tout ça, il m'aurait retourné mes sentiments. Mes imbéciles sentiments.
Le troisième jour, la douleur qui m'avait tenaillée à chaque souffle et à chaque soupir disparut enfin. J'étais mort.
Et derrière l'écran ?
feat FRANCE 【AXIS POWERS : HETALIA】
PSEUDO - Timothée. SEXE - en plastique. AGE - trois souris en peluche. BLABLA PERSONNEL - je mords pas, je fais beaucoup de câlins, de bisous, de distributions de sucettes, et tout et tout ♥. COMMENT AVEZ-VOUS TROUVÉ BLINDFOLDED - via les top-site, il me semble. QUE PENSEZ-VOUS DU FORUM - j'aime beaucoup, je regrette l'absence d'un bouton pour voir les nouveaux messages, mais lorsqu'on connaît l'adresse internet, ça passe. ♥ DES RECLAMATIONS OU RECOMMANDATIONS ? - je peux avoir un calin ? LE MOT DE LA FIN - j'espère qu'aucun personnage n'est diabétique.
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Fétide
conscience vouée à l'errance
MESSAGES ▲ : 116 DATE D'INSCRIPTION ▲ : 29/12/2014 AVATAR ▲ : Calcium - Vocaloid DIT ▲ : La Pestilence. ANECDOTE ▲ : Est la Pourriture / Sent le cadavre / Les insectes sont ses amis / Aime les fleurs FICHE RS ▲ : LAMBEAUX x ERRANCES
Sujet: Re: mille grammes injectés • sucre (terminé avec love) Ven 9 Jan - 17:45
Bienvenue **
J'ai faim en regardant ta présentation, mais il n'y a pas de bonbons chez moi. Je suis triste ;_; /crève
Sinon France iiih ♥♥♥ très chouette personnage, c'est tellement triste d'être condamné à l'hypocrisie ;;
Adria
corps éthéré de pureté
MESSAGES ▲ : 213 DATE D'INSCRIPTION ▲ : 30/05/2014 AVATAR ▲ : Daenerys DIT ▲ : Ad ANECDOTE ▲ : - claustrophobe - bordélique - les transporteurs la rendent malade - elle boit et fume depuis son arrivée ici - elle dessine ou s'endort n'importe où FICHE RS ▲ : et plonger au sommet avec ombres et nuages (rps)
Sujet: Re: mille grammes injectés • sucre (terminé avec love) Ven 9 Jan - 18:01
BIENVENUE AGAIN! Cet avatar et ce tribut. Krkrkrkr. C'est tellement le genre de personnage que jm'éclaterais à jouer ohoh et ce personnage à un potentiel Pedobear vraiment très élevé.
Citation :
METIER - confiseur, spécialisé dans la production de guimauves.
"monte dans ma charrette j'vais te faire voir mes guimauves" (pardon, je m'en vais, bonne nuit)
Sucre
coeur souillé de noirceur
MESSAGES ▲ : 332 DATE D'INSCRIPTION ▲ : 09/01/2015 AVATAR ▲ : France ▬ Hetalia DIT ▲ : chevalier. ANECDOTE ▲ : son tribut est qu'il est condamné à ne plus jamais dire la vérité. il est accessoirement confiseur et claustrophobe. FICHE RS ▲ : crache ton miel •
Sujet: Re: mille grammes injectés • sucre (terminé avec love) Ven 9 Jan - 21:16
Aaaw merci tous les deux de me souhaiter la bienvenue, vous êtes beaux, gentils, adorables, prenez mes câlins et mes guimaaaaauves ♥.
Fétide, je te livre une caisse de bonbon par la poste t'en fais pas èé. Sinon, sois pas trop triste hein, Sucre est quand même un joli petit con, il n'a que ce qu'il mérite (a). ♥
god Adria, tu viens de me faire prendre conscience du potentiel pedobear de mon personnage, je te remercie du fond du coeur. Il y a de petites gens qui feraient mieux de ne pas manger ses guimauves hinhinhin /va mourir
Sinon, je passe signaler que j'ai fini ma fiche ♥ (super vite d'ailleurs, c'est record, si vous permettez que je m'auto-congratule)
Silas
conscience vouée à l'errance
MESSAGES ▲ : 217 DATE D'INSCRIPTION ▲ : 23/12/2014 AVATAR ▲ : cecil ✘ wtnv (angelboobs t'as tout mon amour usee) DIT ▲ : l'insatisfait ANECDOTE ▲ : amateur de sourire d4rk. n'aime pas les kikoo, sauf icare. s'invente une vie à chaque nouvelle rencontre. se retient de glousser à chaque compliment. ne vous aimeras sans doute jamais plus que ses cravates. passe sa vie sous sa tente, ou sur son dromadaire. fuck les repas équilibrés. FICHE RS ▲ : ✘ come on, get drunk, u know u wanna ✘
Sujet: Re: mille grammes injectés • sucre (terminé avec love) Ven 9 Jan - 21:33
ALORS ALORS ALORS rien que pour le choix d'avatar, je te croques assidument puis l'histoire est genre carrément parfaite, et le tribut, j'nen parle même pas, faudrait pas que mon kokoro lâche. bref, t'es vraiment tout beau ~ je te miam, ok ?
Auxine
corps éthéré de pureté
MESSAGES ▲ : 148 DATE D'INSCRIPTION ▲ : 29/12/2014 AVATAR ▲ : shukuro tsukishima ✿ bleach DIT ▲ : le perdu ANECDOTE ▲ : il s'est fait rafler plusieurs fois FICHE RS ▲ : www ✿✿
Sujet: Re: mille grammes injectés • sucre (terminé avec love) Ven 9 Jan - 21:58
BIENVENUE je passe jamais sur les fiches en général mais là coup de coeur x1000 peux-tu me faire des enfants? en échange t'auras le câlin que tu réclame promis
BREF BIENVENUE ENCORE TU PUES LA CLASSE ET LES BONBONS /adieu/
Sahara
conscience vouée à l'errance
MESSAGES ▲ : 405 DATE D'INSCRIPTION ▲ : 05/05/2014 AVATAR ▲ : panty ; panty & stocking DIT ▲ : le canari ANECDOTE ▲ : elle se garde bien d'avouer qu'elle est une vagabonde, bravo l'honnêteté. FICHE RS ▲ : i'll worship like a dog at the shrine of your lies
Sujet: Re: mille grammes injectés • sucre (terminé avec love) Ven 9 Jan - 22:08
BIENVENUE SUR LIBRA ••
Ca y est, te voilà validé et prêt à parcourir les grandes plaines de Libra. Tu as désormais accès à l'ensemble du forum et est libre de rp avec le reste des âmes !
N'oublie cependant pas d'aller jeter un coup d'oeil aux bottins pour faire recenser ton personnage notamment.
Et surtout, amuse-toi bien et puisse ton voyage durer !
OK OK. Faut se calmer niveau swag dans cette présentation sinon mes ovaires vont imploser. France + Tribut + Histoire, c'est trop pour moi j'vais décéder del kokoro. Je te valide sans surprise parce que dieu, c'était fichtrement bien foutu et j'ai dévoré ça rapidos ! (et pour le lien nouveaux messages, c'est prévu faut juste que je trouve où le mettre, j'ai pas encore réfléchi à ce pitit problème)
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Sujet: Re: mille grammes injectés • sucre (terminé avec love)
mille grammes injectés • sucre (terminé avec love)