METIER - guide touristique. Tu passes ton temps à décrire Libra & ses alentours aux curieux, à grand renfort d'envolées lyriques sur les couleurs chatoyantes de son ciel ou de ses paysages ; la belle imposture, quand on connaît le prix de ton tribut. LIEU DE RESIDENCE - libra.
GROUPE - damnée. TRIBUT - avant ta mort, tu tenais une petit galerie d'art sans prétention, au détour d'une ruelle qui longeait les ramblas de Barcelone. Ca tenait davantage de l'attrape-touriste que d'un musée en bonne & due forme ; mais qu'est-ce que tu t'y sentais bien, entourée de toutes ces toiles bariolées bourrées de couleurs, à défaut d'être systématiquement bourrées de talent. & pour toi, l'entrée à Libra s'était payée au prix fort - ç'avait été un crève-coeur de renoncer à jamais à distinguer les couleurs.
Description Physique
« lived lives will live »
T'es pâle, Aspasie, t'es livide - on dirait une ébauche à l'aquarelle qu'on aurait oublié de retoucher. Même tes yeux, au fond ; ils ont beau être d'un joli bleu, on les croirait presque transparents - & c'est vrai que ce mot, il te représente plutôt bien. Transparente. Un véritable fantôme derrière tes cheveux de jais que t'avais coupé suffisament courts pour avoir l'air tout à fait banale, & suffisament longs pour qu'ils dissimulent la moitié de ton visage ; un joli fantôme, en soi, mais un fantôme quand même. & t'avais beau essayer d'arranger ça, ça n'faisait jamais réellement illusion - tes lèvres colorées d'un rouge trop vif donnaient l'impression qu'on avait négligemment essuyé un pinceau sur ton esquisse, un pinceau qui avait tracé les contours de quelqu'un de plus consistant, au teint plus rose & à la mine moins triste. Même tes fringues, on dirait que tu les choisis exprès ; du noir du noir encore du noir toujours du noir. C'est ce qui ce remarque le moins & par conséquent ce qui te sied le plus - inconsistante, tu l'es jusque dans ta façon de te tenir, toujours un peu recroquevillée ; comme si t'avais quelque chose à cacher, comme si t'avais en permanence besoin de croiser tes bras contre ton coeur de peur que quelqu'un ne s'y penche de trop près & s'rende bien compte que'au final, c'était tout aussi vide à l'intérieur.
ANECDOTE
« died dies will die »
T'es une menteuse née, Aspasie - t'as beau avoir un bon fond, t'es parfaitement capable de regarder quelqu'un dans les yeux & de lui débiter tout un tas de conneries avec un aplomb sans pareil. Tu mens sur tout puis surtout sur n'importe quoi - y'a pas vraiment de raison à ça, ça te tombe dessus puis tu t'empêtres dans ta propre hypocrisie. La preuve, t'avais pour habitude d'aller acheter une gerbe de fleurs tous les vendredis après-midi - même lieu, même heure. Ca lui avait pris quelques mois, mais la vendeuse avait fini par te remarquer - c'était une sympathique petite vieille qui devait se sentir un peu seule & qui s'plaisait à te taper la discussion pendant une petite heure, avant que tu n'sois vraiment obligée d'y aller. Va savoir pourquoi, c'était la seule conversation que tu tenais avec un entrain sincère, & pas ces sourires forcés que tu destinais au reste du monde ; c'était devenu un véritable petit rituel, ces vendredis après-midi. Le jour où elle t'a demandé ce que tu faisais des fleurs, t'avais raconté à la petite vieille que tu voyais ton petit-ami le week-end, & qu'il aimait beaucoup les camélias, histoire de couper court à sa curiosité - mais les semaines passaient, & voila qu'elle se passionait pour ce type imaginaire, un peu comme la grand-mère bienveillante que t'avais jamais eue. Alors t'en finissais plus de lui raconter vos petites escapades à tous les deux, d'enjoliver d'tes belles paroles votre soit-disant idylle - puis plus le temps passait, plus t'avais honte. C'est vrai, quoi - t'aurais pu finir par lui dire, à la vieille, que tous les vendredis après-midi c'était la tombe de ton père & pas l'coeur d'un autre que t'allais fleurir.
description morale
« congratulation on the mess you made of things »
C'était pas c'que je voulais dire, c'était pas c'que j'voulais faire c'était pas c'que j'voulais tout court ; ah ça non, c'est jamais de ta faute, Aspasie ; t'es ce genre de fille bien intentionnée, tout c'que tu fais part toujours d'un bon sentiment - pourtant, tout c'que tu fais ça foire, aussi, systématiquement. Souvent, tu te consoles en te disant que t'as le mérite d'avoir essayé - tu te confortes dans ta médiocrité en pensant que c'est la vie qu'c'est comme ça ; y'a ceux à qui tout réussit, ces quelques étoiles qui gravitent autour de la masse informe des pauvres filles de ton genre. T'as toujours manqué de volonté & d'amour propre - ça te dérangeait jamais vraiment d'être la dernière qu'on choisissait quand on constituait les équipes, de devenir la meilleure amie d'une fille parce que l'ancienne avait déménagé - plus tard, ça te convenait d'être la maîtresse ; celle qu'on se tape à l'arrache dans une chambre d'hôtel minable ou à l'arrière d'une bagnole. T'as toujours pensé que t'étais plutôt minable, & tes quelques efforts pour prouver le contraire se sont souvents soldés par des échecs cuisants. Mais c'est pas de ta faute, va - t'es juste un peu trop naïve ; c'est sûrement pour ça que tu t'attendais toujours à ce que le pire des connards se transforme un beau jour en prince charmant. Tu t'es laissée trimballer de désillusion den désillusion & faut croire qu'à force, ça t'a un peu abîmée - sans doute que le peu d'estime & le peu d'espoir qu'il te restait, un de tes prétendants d'une nuit l'avait tué d'un coup de rein, un soir comme les autres où t'avais juste oublié de boire suffisament pour pas t'souvenir à quel point t'étais pathétique. Pourtant, t'es de celles qui donnent aux autres sans compter - & sans rien demander en retour, en plus ; après tout, tu t'imagines même pas mériter quoi que ce soit. Ca fait de toi quelqu'un de sympathique, au mieux - une pauvre conne influençable, au pire, & dieu sait que les gens en ont souvent profité. Mais y'a rien qui y fait y'a rien qui change ; t'es comme figée dans ta médiocrité, incapable de sortir de ta petite zone de confort ; après tout, à force de t'habituer à ne rien attendre de personne, la moindre marque d'attention suffisait à illuminer ton visage d'un sourire pâle, d'un de ces sourires creux dont t'avais malgré toi le secret. Au fond, tu demandais rien de plus qu'un peu d'affection sincère - précisément celle que t'étais incapable d'éprouver ne serait-ce que pour toi-même.
histoire d'une vie
« this is the way the world ends not with a bang but a whimper »
Tu l'avais rencontré dans un bar. C'était bien ton truc, de ramasser les pauvres hères dans les bars - il leur fallait pas grand chose de plus qu'un regard appuyé & quelques verres en trop. T'étais pas vraiment moche, en plus, & dieu sait que ça aidait ; tout ça pour dire que tu trompais allègrement la solitude avec le premier venu & qu'tu le troquais volontiers le lendemain pour un autre, même lieu même heure. T'étais de ces gamines qui croyaient en l'amour, pourtant - t'en avais bouffé encore & encore d'ces belles histoires & de leurs happy ends. & puis t'avais grandi, comme tout l'monde ; t'avais bien vu que le prince charmant de maman avait tous les soirs une tête différente & qu'il n'restait jamais le lendemain pour prendre le petit déjeuner. T'avais fini par reléguer au placard tes rêves un petit peu trop naïfs, & aux preux chevaliers s'étaient substitués les conquêtes hasardeuses cueillies sur l'bas côté dans l'ivresse d'un soir.
Pas d'exception ; lui aussi, tu l'avais rencontré dans un bar. Il détonnait, le soir où il était entré - trop propre sur lui, trop bien pour c'genre d'endroit ; monsieur se tenait droit dans ses pompes & dans son costume hors de prix, fumait des indus & promenait sur tout votre beau petit monde un regard hautain à peine voilé. Tu l'avais regardé s'assoir seul à une table en te disant que ça devait être un sacré connard pour venir vous jeter au visage ses petits airs de parfait père de famille à vous autres - les pauvres loques affalés sur le comptoir & les filles comme toi, un peu perdues puis surtout un peu faciles. Au fil de la soirée, t'as trouvé que monsieur s'enfilait un peu trop de whiskys pour être honnête ; alors t'as titubé jusqu'à sa table & tu lui as débité tout un tas de connerie, l'genre de trucs qu'on dit pas à un type qu'on vient tout juste de rencontrer, mais ça devait être attendrissant parce qu'il t'a souri - c'est ce qu'ont dit les gens qui étaient là, ce soir là. Puis il revenu le lendemain puis l'jour d'après sans que tu t'expliques trop pourquoi ; & il partait chaque soir sans te dire au revoir, mais tu ne lui en voulais jamais - ça voulait dire qu'il reviendrait & t'adorais ça, vos petits rencards comme convenus par son silence.
Il t'a embrassée pour la première fois au moment où tu t'y attendais sûrement le moins, au cours d'une soirée qui ne présageait rien de bon - l'alcool déliait les langues, & il venait d'se prendre la tête avec une femme. T'avais réagi comme une gamine - & en soi, quoi de plus normal du haut de tes dix neuf printemps ; & t'avais claqué la porte après l'avoir traité d'tous les noms. C'était stupide, & tu l'savais - tu n'pouvais décemment pas lui en vouloir d'avoir une vie en dehors de ce bar minable, une femme aimante & sans doute toute une ribambelle de gosses ; après tout, t'étais qui ? La jolie petite gamine du bout du comptoir, dont on s'lasserait sûrement dans la semaine ; à laquelle on confiait un bout d'sa vie contre un bout d'son coeur à elle, & rien de plus - t'avais rien à revendiquer. Sauf que lui t'avais suivie jusque sur le trottoir, qu'il s'était laissé tomber par terre à côté de toi sans prendre garde à son joli costume qu'il allait sûrement tâcher - & il t'avait dit qu'il était désolé, qu'il aurait peut-être du te l'dire, t'en parler de sa putain de femme ; t'avais répondu qu'c'était pas grand chose & tes yeux criaient le contraire, puis tu t'étais répandue en banalités histoire d'faire passer le malaise, & il t'avait faite taire - là, juste comme ça. Ses lèvres contre les tiennes & vos coeurs qui battent en rythme.
Tu t'étais réveillée le lendemain matin au creux de ses draps & tu t'sentais comme une usurpatrice - tu sentais le regard réprobateur de la si jolie mariée sur papier glacé qui trônait sur la table de nuit, & t'avais honte. Qu'est-ce que t'étais d'plus pour lui sinon son caprice de jeune trentenaire ; jusqu'à quel point tu pouvais bien t'leurer ? C'est le coeur en berne & la mine triste que t'avais rassemblé tes affaires aux quatre coins de se chambre, en essayant de faire le moins de bruit possible - t'avais voulu te faufiler hors de chez lui de la même manière que t'étais entrée dans sa vie ; sans crier garde & par la porte de derrière. Mais monsieur en avait décidé autrement & l'temps allait t'apprendre qu'il ne lâchait jamais facilement l'affaire - & il t'avait attrapée par le poignet alors que tu t'apprêtais à filer sans un regard en arrière. Reste, qu'il t'avait dit dans un soupir, ; s'il te plaît, une poignée de secondes plus tard. Il ne t'en avait fallu guère plus pour te laisser retomber sans bras - l'avenir te montrerait par la suite qu'il était définitivement très fort à c'jeu-là.
La première fois, à l'hôpital, t'as raconté que t'étais tombée dans les escaliers. Tu savais pertinnement que ça n'prendrait pas - certaines ecchymoses ne mentaient pas ; mais ça avait le mérite de dissuader les curieux. Ca faisait peur la violence conjugale ça faisait sale, & personne n'avait envie de s'y pencher de trop près, des fois qu'ce soit contagieux. On t'avait interdit les visites alors tu passais tes nuits à fixer le plafond sans fermer l'oeil, à te souvenir des joies avant les peines des étreintes avant les heurts d'l'amour avant la haine ; tu t'souvenais de ce type qui t'emmenait des fleurs à la sortie du boulot puis d'celui qui t'avais cassé la gueule parce que tu lui avais parlé un ton trop haut - & ils n'avaient rien en commun, sinon ce doux visage. T'aimais l'amant attentionné & empli de tendresse presque autant que c'que tu craignais le tyran nourri par la violence - & l'souci, c'était que tu savais jamais sur lequel t'allais tomber en poussant la porte. Les fois suivantes, quand elle t'avait demandé ce qui se passait encore, t'avais jeté à cette hypocrite d'infirmière un d'ces regards noirs dont t'avait le secret - s'ils voulaient tous jouer aux aveugles, autant qu'ils le fassent en restant muets. & tu te replongeais dans tes considérations abstraites du plafond de cette chambre que tu connaissais par coeur, en te jurant que tu le quitterais ce connard qu'c'était une fois de plus une fois trop & surtout que ce serait la dernière.
Au final, c'n'était que la énième d'une longue série. T'avais sympathisé avec l'infirmière stupide comme on ferait ami-ami avec le facteur ou la boulangère du coin - c'était elle qui te rapportait les ragots idiots qui t'auraient arraché un éclat de rire autour d'un café si t'avais été quelqu'un de normal ; & ça te faisait du bien. Au bout du compte, t'avais même fini par lui raconter cette vérité qu'elle prétendait ne pas connaître - elle aussi l'avait traité de tous les noms t'avait supplié de le quitter menacée d'appeller la police ; t'avais pas eu besoin de te donner beaucoup de mal pour l'en dissuader & la convaincre que c'était c'que tu comptais faire de toute façon - trois ans passés aux côtés de ce type là & t'étais devenue la reine des faux semblants. C'est pour ça que t'avais pas compris c'qui lui prenait ce jour-là, pourquoi elle avait débarqué dans ta chambre en manquant d'passer au travers de la porte pourquoi elle secouait comme une damnée cette putain d'enveloppe pourquoi elle te gueulait dans les oreilles - depuis quand tes sourires mielleux & tes battements de cils ne lui suffisaient-ils plus ? Tu comptais me le dire quand qu'elle hurlait à n'en plus finir, & depuis combien de temps tu l'sais putain comment tu peux être inconsciente à ce point ? T'étais restée plantée là à n'pas trop savoir quoi dire jusqu'à ce qu'elle te la balance au visage, cette foutue enveloppe - tu l'avais ouverte tandis qu'elle claquait la porte, & t'avais voulu crever. Une putain d'échographie ; voilà ce que c'était. Alors c'est vrai ça, Carmen - tu comptais le lui dire quand que t'étais enceinte ?
Tu te souviens pas vraiment de combien de temps t'as hésité à le lui annoncer - tu te souviens n'pas avoir dormi la nuit puis t'être posé tout un tas de questions idiotes ; tu t'souviens avoir pleuré, aussi, souvent - encore plus souvent qu'à l'accoutumée, & ça t'avait donné envie de vomir. Pourquoi t'étais incapable de te réjouir - non, mieux ; pourquoi t'étais incapable de le quitter ? C'était ta chance, putain, qu'est-ce que t'attendais pour la saisir - qu'il te casse la gueule encore une fois, histoire qu'tu sois bien sûre de toi ? Non, bien sûr que non. La vérité, c'était que tu pouvais pas faire autrement - t'avais nulle part où aller & pas grand monde vers qui te tourner, & puis à quoi bon ? Ca te répugnait de seulement y penser, mais ça n'se discutait pas - il était bien plus à même que toi d'offrir à ce pauvre gosse un avenir décent, tant & si bien qu'il n'se mette pas à passer ses humeurs sur lui à ta place. Monsieur avait un job une bagnole & une jolie barraque ; monsieur gagnait sa vie & la tienne par la même occasion - & toi, qu'est-ce que t'avais pour rivaliser avec ça ? Une misérable paye de galeriste de seconde zone, & la fâcheuse habitude de faire la tournée des bars en quête d'un peu d'affection, ne serait-ce que pour une nuit ; & tu te figurais pouvoir élever un gosse ? Ca t'aurait presque fait rire, si tu t'donnais pas autant envie de gerber.
& puis un soir où tu venais de finir ton service, alors que tu t'apprêtais à te faufiler par la porte de derrière histoire de t'en griller une - encore une sage décision à ajouter à ton palmarès de la meilleure mère de l'année ; alors qu'tu t'apprêtais à t'laisser glisser contre le mur & à te recroqueviller sur le trottoir, toute misérable que t'étais - ce soir-là, il était là. Il portait une chemise blanche, un bouquet de fleur d'sa main droites & son sourire des bons jours aux lèvres - c'est sans doute pour ça que t'avais rien vu venir, encore une fois. Le premier coup t'avait heurtée au ventre - & t'avais à peine eu le temps de te dire que dieu avait décidément un drôle de sens de l'humour parce second t'avait précipitée à terre presque aussitôt, & t'avais perdu le compte des suivants - t'entendais plus que ses invectives puis tes os qui craquaient puis sa voix encore ; salope salope salope qu'il te répétait encore & encore, tu pensais que j'm'en rendrais jamais compte ? Il avait le regard fou & toi les larmes aux yeux, t'avais bien essayé d'lui dire que non que c'était pas c'dont ça avait l'air, mais tu t'étouffais déjà sûrement dans ton propre sang, à ce moment-là. T'attendais ton moment pour te barrer, c'est ça ? T'as raté ta chance, sale pute qu'il avait dit avant d'te cracher au visage - & le pire dans tout ça, c'est qu'il avait bien raison ; tu t'étais ratée, encore une fois. Tu l'as même pas vu se saisir d'un bout de ferraille qui traînait sur l'sol - t'étais trop occupée à adresser des prières à en dieu en lequel tu croyais pas un dieu en lequel tu croyais plus ; t'avais à peine senti le coup lorsqu'il s'était écrasé contre ton crâne dans un ultime bruit d'os brisé ; & quelque part dans ta poitrine, ton coeur s'était brisé en même temps - à l'unisson.
Et derrière l'écran ?
feat ELIZABETH 【BIOSHOCK INFINITE + BURIAL AT SEA】
PSEUDO - mei, la plupart du temps. SEXE - ce matin j'ai fait les soldes à pimkie. voilà, c'était un indice. AGE - 17 printemps (05.05)
BLABLA PERSONNEL - J'AIME PAS LES MAJUSCULES EN DEBUT DE PHRASE mais promis j'écris français. sinon, j'avais résolument décidé d'arrêter le rp mais c'était compter sans revolver (je te DETESTE revolver look what you've done) donc j'suis un peu rouillée vous me pardonnerez cette fiche est nulle.
COMMENT AVEZ-VOUS TROUVÉ BLINDFOLDED - [22:16:04] hopsin: ce forum est vraiment très bleu [22:16:15] orochimary: tu es en train d'envisager de t'inscrire aren't you [22:16:27] hopsin: oh non [00:40:51] hopsin: ...... TU ME CONNAIS UN PEU TROP BIEN (voilà j'ai résisté pendant trois longues heures à revolver)
QUE PENSEZ-VOUS DU FORUM - [22:16:04] hopsin: ce forum est vraiment très bleu (& sinon il est trop beau cette bannière est formidable & les gens ont l'air gentils pourtant j'aime pas les gens d'habitude vous savez) (.... mais je suis quelqu'un de sympathique i swear) DES RECLAMATIONS OU RECOMMANDATIONS ? - encore plus de ble-j'arrête.
LE MOT DE LA FIN - mascarpone.
codage par sahara sur blindfolded.forumsrpg.com
Revolver
corps éthéré de pureté
MESSAGES ▲ : 50 DATE D'INSCRIPTION ▲ : 02/01/2015 AVATAR ▲ : Link Δ TLOZ DIT ▲ : La pute ANECDOTE ▲ : Passionné d'origamis FICHE RS ▲ : so quiet down
Sujet: Re: to the happy few △ aspasie (terminée) Sam 10 Jan - 18:45
salut amour de ma vie
Opium
conscience vouée à l'errance
MESSAGES ▲ : 1135 DATE D'INSCRIPTION ▲ : 30/12/2014 AVATAR ▲ : Kirishiki Sunako 【SHIKI】 DIT ▲ : La Désolation ANECDOTE ▲ : ▬ dealeuse à la ville de libra ▬ observe les humains car c'est le seul moyen de comprendre pourquoi elle est née ▬ souffre pour l'éternité FICHE RS ▲ : www
Sujet: Re: to the happy few △ aspasie (terminée) Sam 10 Jan - 18:47
bienvenue ♥ hâte de voir le reste de ta fiche c:
Invité
Invité
Sujet: Re: to the happy few △ aspasie (terminée) Sam 10 Jan - 18:55
j'arrive pas dans ma tête à me dire que la catalogne c'est l'espagne. je je je ... :c je te connais, sur un ancien forum où j'étais tu m'avais piqué mon pseudo. grmf.
et sinon, je veux un lien, ton personnage est ♥ bienvenue ♥
Silas
conscience vouée à l'errance
MESSAGES ▲ : 217 DATE D'INSCRIPTION ▲ : 23/12/2014 AVATAR ▲ : cecil ✘ wtnv (angelboobs t'as tout mon amour usee) DIT ▲ : l'insatisfait ANECDOTE ▲ : amateur de sourire d4rk. n'aime pas les kikoo, sauf icare. s'invente une vie à chaque nouvelle rencontre. se retient de glousser à chaque compliment. ne vous aimeras sans doute jamais plus que ses cravates. passe sa vie sous sa tente, ou sur son dromadaire. fuck les repas équilibrés. FICHE RS ▲ : ✘ come on, get drunk, u know u wanna ✘
Sujet: Re: to the happy few △ aspasie (terminée) Sam 10 Jan - 18:59
alors bienvenue super choix d'avatar, bioshock > all j'ai hâte d'en voir plus en tout cas gngn o/ j'aime genre beaucoup beaucoup beaucoup le physique et puis, ton titre m'a fait penser à ça j'ai honte merci (oui oui, je lis happy feet au lieu de happy few, gg moi) pour la peine j'viendrais te voler une place sur ta rs, voila.
Invité
Invité
Sujet: Re: to the happy few △ aspasie (terminée) Sam 10 Jan - 19:27
Bienvenue !
Super avatar il est très beau ** Et ce tribut my god...Je te réserve un lien ** bon courage pour le reste de ta fiche <3
Sucre
coeur souillé de noirceur
MESSAGES ▲ : 332 DATE D'INSCRIPTION ▲ : 09/01/2015 AVATAR ▲ : France ▬ Hetalia DIT ▲ : chevalier. ANECDOTE ▲ : son tribut est qu'il est condamné à ne plus jamais dire la vérité. il est accessoirement confiseur et claustrophobe. FICHE RS ▲ : crache ton miel •
Sujet: Re: to the happy few △ aspasie (terminée) Sam 10 Jan - 19:48
BIENVENUE ICI ♥. Tu sais, moi j'ai mis un bail, mais genre un sacré bail à comprendre ce qui était sur ton avatar en moed « booon il est où le visage ah, je crois que je l'ai trouvé, mais non c'était pas ça ». Bref, un personnage qui s'annonce très bon, j'ai hâte de découvrir la suite ♥
Invité
Invité
Sujet: Re: to the happy few △ aspasie (terminée) Dim 11 Jan - 1:19
trop d'amourrrrrrrr merci le peuple ♥♥♥ (j'suis pas habituée vous êtes eXTRÊMEMENT CONVIVIAUX est-ce que vous l'savez vous êtes formidables)
espoir je sens le ZERO en toi am i right & silas au nom de bioshock j'te déclare ma flamme en plus ton avatar on dirait ROBERT LUTECE (& je te pardonne ma panique quand j'me suis imaginée un PINGOUIN tatoué sur les côtes) & sucre je t'avoue que moi-même quand j'ai mis l'image en négatif sANS FAIRE EXPRES (did someone say photoshop skills) j'ai eu vachement de mal à relocaliser sa tête I FEEL U & je veux un lien avec vous tous parce que vous êtes COOLS voilà j'ai fini (mon pavé niais) (pas ma fiche) (ce serait trop beau) (ça fait beaucoup de parenthèses) (bYE) ♥♥♥
Invité
Invité
Sujet: Re: to the happy few △ aspasie (terminée) Jeu 22 Jan - 18:38
Toujours fidèle à toi-même pour l'avatar, ton style d'écriture est vraiment un délice à la lecture - comment ais-je pu l'oublier. (Zero n'est donc pas vouée à tomber aux oubliettes?) Bonne chance pour la suite, et bienvenue ici.
Ebène
coeur souillé de noirceur
MESSAGES ▲ : 534 DATE D'INSCRIPTION ▲ : 16/05/2014 AVATAR ▲ : tyki mikk DIT ▲ : luccio, ébénito FICHE RS ▲ : due; tre
Sujet: Re: to the happy few △ aspasie (terminée) Ven 23 Jan - 15:29
La suite la suite ! :D Je usis avide de tout lire ! En plus j'ai flashé sur ton avatar ! edit: le titre de ta présentation ce serait pas une référence à Stendhal par hasard ?
Invité
Invité
Sujet: Re: to the happy few △ aspasie (terminée) Ven 23 Jan - 20:10
ohhhhh mais tess j'suis surprise & grave contente de te retrouver là aha, merci merciiii ♥ (& ma foi j'crois que non, j'y tiens à la petite l'air de rien) & ébène TU ES QUELQU'UN DE BIEN, c'est bien en référence à stendhal (& pas à un film de pingouins WHAT HAVE YOU DONE SILAS)
du coup suffisait de demander si si, suite & fin postée (& un peu beaucoup bâclée)(ahem)(ne me jugez paaaaas) & fiche terminée voilà voilà mieux vaut tard que jamaaaaais
Ebène
coeur souillé de noirceur
MESSAGES ▲ : 534 DATE D'INSCRIPTION ▲ : 16/05/2014 AVATAR ▲ : tyki mikk DIT ▲ : luccio, ébénito FICHE RS ▲ : due; tre
Sujet: Re: to the happy few △ aspasie (terminée) Ven 23 Jan - 21:20
BIENVENUE SUR LIBRA ••
Ca y est, te voilà validé et prêt à parcourir les grandes plaines de Libra. Tu as désormais accès à l'ensemble du forum et est libre de rp avec le reste des âmes !
N'oublie cependant pas d'aller jeter un coup d'oeil aux bottins pour faire recenser ton personnage notamment.
Et surtout, amuse-toi bien et puisse ton voyage durer ! ♥
Cool ! ** Du coup c'est quel livre ? La Chartreuse ou le Rouge et le Noir ? Ton histoire m'a plu, ça m'a évoqué Kill Bill un peu (surtout sur la fin), c'était vraiment très triste. Sinon pour moi tout est en règle, je te valides donc, bon jeu Aspasie ! :)